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La modélisation est un concept relativement courant dans le domaine du développement personnel : trouvez quelqu’un qui a obtenu les résultats que vous cherchez à avoir, apprenez la méthode qu’il a appliquée et imitez essentiellement son approche.
D’un point de vue objectif, cela a du sens. Si le monde est de nature objective, ce type de modélisation devrait bien fonctionner. Cependant, est-ce que cela fonctionne vraiment pour vous ?
Principes fondamentaux vs Modélisation
Je pense qu’il serait préférable de comprendre les principes fondamentaux qui sous-tendent les résultats positifs plutôt que de faire recours à la modélisation. Vous pourrez alors appliquer ces principes à vos propres réalités avec plus de flexibilité. J’ai entendu dire que c’est ce que fait Elon Musk. Au lieu de raisonner par analogie en se basant sur ce qui fonctionne pour les autres, il préfère apparemment créer ses propres modèles en partant de zéro, en se basant sur la physique.
J’aime utiliser une approche similaire pour relever les défis liés au développement personnel. Même si je pense qu’il est utile d’apprendre des autres, je n’obtiens pas de bons résultats en copiant leurs approches, et même si j’essaie de le faire, mes instincts créatifs et mon intuition ont tendance à me guider de toutes les manières sur une voie différente.
J’aime cependant travailler à partir des principes de base tels que la vérité, l’amour et le pouvoir. Chaque défi de croissance a une part de vérité (ce qui est), une part d’amour (ce que je veux) et une part de pouvoir (ce que je peux créer). Ces aspects me servent de base pour résoudre un problème, atteindre un objectif ou maintenir une certaine cohérence lorsque tout va bien.
Problèmes liés à la modélisation objective
En dépit de tout, la modélisation est un concept assez objectif, basé sur certaines hypothèses objectives.
Selon l’une de ces hypothèses, ce qui fonctionne pour les autres a des chances de fonctionner pour vous. Cela peut se vérifier dans de simples situations, comme suivre une recette pour préparer un repas. Par contre, pour des projets plus importants, comme créer une entreprise, il y a tellement de complexités qu’il est difficile de savoir quels sont les facteurs à l’origine du succès des uns et des autres. Même lorsqu’un PDG écrit un nouveau livre sur ses principes de réussite, il s’accompagne souvent de mises en garde et d’avertissements.
Pour chaque règle ou conseil présenté comme étant un principe de réussite en or, il n’est pas difficile de trouver des contre-exemples. Il existe même des entreprises qui réussissent apparemment avec un mauvais leadership, un mauvais travail d’équipe, aucune vision claire et d’autres problèmes récurrents. Apparemment, l’économie américaine a connu une excellente année 2019, mais comparez cela avec l’état du gouvernement américain. Si certains représentants du gouvernement écrivaient un livre sur les principes de réussite, voudriez-vous copier leur approche ?
J’ai constaté que mes propres résultats en matière d’étude et de modélisation des modèles de réussite des autres étaient assez aléatoires. Cela aide parfois, mais la plupart du temps, je dois reconnaitre que c’est un véritable gaspillage d’efforts.
L’auto-modélisation
J’obtiens généralement de meilleurs résultats en m’étudiant plus profondément plutôt qu’en essayant d’adopter les modèles de réussite des autres. J’ai passé des années à déterminer mes forces et mes faiblesses (la vérité), mes désirs et mes intérêts les plus irréfutables (l’amour) et mes meilleurs modes d’action (le pouvoir).
Il s’agit d’un autre type de modélisation. Au lieu de copier les modèles de quelqu’un d’autre et d’essayer de les reproduire, je construis des modèles mentaux de mes modèles personnels de réussite.
Par contre, cette approche est limitative si je reste isolé. Mes résultats externes ne dépendent pas entièrement de moi. Je dois faire ma part, mais la réalité a aussi son mot à dire. Parfois, lorsque je me lance en croyant que je me comprends mieux et en ayant des idées claires quant à ce que je dois faire pour améliorer mes résultats, la réalité me donne une claque et me renvoie à la case départ. Cela vous est-il déjà arrivé ?
Cette approche est bonne au début, mais si vous voulez construire un modèle de vous-même, vous devez aussi construire un modèle convenable du monde. De plus, vous devez construire un modèle qui définit comment vous et le monde êtes liés l’un à l’autre. Il vous faut donc trois modèles au minimum ici.
Modélisation du monde
L’approche de la modélisation objective reconnait également que le monde a son mot à dire dans nos résultats. Cependant, elle fait une énorme supposition, qu’on ne peut pas démontrer et qui est probablement fausse : votre monde est le même que celui des autres. Que faire alors si ce n’est pas vrai ? Et si nos mondes étaient différents ?
Votre réalité est-elle la même que la mienne ? Si ce n’est pas le cas, alors pour être efficaces, les modèles objectifs devraient reconnaitre les différences entre ces mondes et fournir une sorte de matrice de concordance entre eux. Et ce n’est généralement pas le cas.
Même lorsque nous considérons les mondes des autres d’un point de vue purement objectif, il est difficile d’affirmer qu’ils sont identiques. S’il existe un seul monde objectif que nous partageons tous, il est évident que nous n’en habitons pas les mêmes parties. Il suffit de regarder la différence entre les environnements des riches et des pauvres pour constater qu’il est difficile de dire que nous vivons tous dans le même monde au quotidien. Je ne vis pas dans un monde où je subis constamment le racisme et le sexisme, mais c’est le cas de beaucoup d’autres gens. Je vis dans une ville qui possède sa propre pyramide, son château, sa tour Eiffel, son pont de Brooklyn, sa statue de la liberté, ses canaux, son volcan et son bateau pirate, tous à quelques pas les uns des autres.
Si vous voulez appliquer la modélisation objective et améliorer vos résultats grâce à elle, il serait bon d’apprendre de personnes qui évoluent dans un environnement très similaire au vôtre ; sur le plan physique, social, culturel, éducationnel, etc.
Modélisation subjective
L’approche que j’ai trouvé la plus efficace en termes de modélisation consiste à traduire l’ensemble du concept en une réflexion sur la réalité subjective.
Supposons que le monde soit une simulation ; une simulation qui vous inclut. Nous pouvons toujours créer et utiliser des modèles, mais nous avons maintenant besoin de modèles qui prennent en compte la simulation. Il s’agit notamment de modèles qui déterminent qui et ce que vous êtes, ce qu’est le monde et votre relation avec le monde.
Voici un ensemble de modèles simples que j’utilise souvent à bon escient :
- Je suis un être conscient, sculpté par mes expériences dans cette réalité, qui est une expérience temporaire. Quand j’en aurai fini ici, je passerai probablement à l’exploration d’autres dimensions d’apprentissage et d’expériences.
- Cette réalité est une simulation qui prend en compte mon personnage, un peu comme un monde virtuel.
- Dans ma relation avec cette réalité, je me mets dans la peau d’un stagiaire et je considère que la réalité est le formateur. La simulation tentera de me former avec ou sans ma coopération, mais les choses sont plus faciles et je peux aller plus vite et profiter du processus si je coopère. Quand je résiste à l’aspect formation de mon expérience ou quand j’échoue à le reconnaitre, cela ne fait que créer un blocage qui ralentit tout jusqu’à ce que j’obtienne un indice.
Avec ces modèles (qui sont certes très simplifiés pour que cet article soit succinct), j’utilise la modélisation de manière très différente.
Généralement, j’applique ces modèles en remarquant ce que ma réalité récompense et ce qu’elle ne récompense pas (ou punit). Une récompense peut être un résultat externe, mais ma propre signature énergétique et mes réactions émotionnelles constituent les formes de récompense que j’apprécie le plus. Il en va de même pour ce que je pourrais considérer comme une absence de récompense ou une punition.
Ce que j’aime à propos de cette approche, c’est qu’elle s’accorde bien avec beaucoup d’expériences que j’ai vécues dans ma vie.
Les règles de base d’un monde objectif ne changent pas vraiment avec le temps. On peut supposer que les lois de la physique fonctionnent de la même manière aujourd’hui qu’il y a un an. Par contre, dans un monde simulé, les règles peuvent changer, parfois brusquement. Ce qui a fonctionné pour vous hier peut donc ne pas fonctionner aujourd’hui.
Vous est-il déjà arrivé d’essayer d’extraire votre propre processus de réussite d’une réalisation passée pour vous souvenir de ce qui a fonctionné, mais de connaitre un fiasco en essayant d’appliquer à nouveau ce processus ? Cela m’est arrivé à plusieurs reprises. Les solutions efficaces auxquelles j’ai eu recours par le passé ne fonctionnent pas forcément pour moi aujourd’hui. Je pense que c’est parce que ma réalité change parfois les règles, probablement pour m’assurer que je continue de progresser.
Cela ne me permet pas de stopper ma croissance et de stagner pendant trop longtemps. Cela ne me permet pas non plus de rester coincé dans des boucles répétitives. Au début, je trouvais cela extrêmement frustrant, mais maintenant, ce processus a un sens pour moi et j’apprécie vraiment tout ce qu’il implique. Il est bon de savoir que je vis dans un monde qui ne me permet pas de rester coincé pour toujours.
Ma simulation semble disposer d’un algorithme efficace pour décrypter progressivement les situations jusqu’à ce que je comprenne qu’il est temps de changer d’approche.
Lorsque je m’obstine à résister, ma simulation finit par remettre en cause des aspects de ma vie qui fonctionnaient bien auparavant, afin de me faire sortir de ma zone de confort. J’ai compris que je peux largement éviter cela en restant consciemment sur le chemin de la croissance et en coopérant au lieu de résister.
Quand j’ai essayé d’appliquer la modélisation objective, cela a un peu fonctionné. De même, cela fonctionnera de manière limitée et sur une courte durée lorsque j’explorerai quelque chose de nouveau. Ma réalité semble être d’accord avec le fait que j’apprenne des expériences des autres dans les premières phases d’une nouvelle exploration, mais elle ne me permet pas de m’attarder à ce niveau. Cette approche finit toujours par montrer ses limites tôt ou tard ; généralement plus tôt que l’on pourrait s’y attendre.
Le bonheur
Aujourd’hui, je navigue dans ma relation avec la réalité de manière très créative. J’échange à haute voix avec la réalité, je fais des offres et je fais des efforts lorsqu’il me semble bon d’en faire. Lorsque je suis dans le flux de cet état d’esprit, cela fonctionne très bien. Je me sens heureux dans ce flux, et j’apprécie les résultats intéressants que j’enregistre.
L’une des choses qui m’ont ralenti, c’est le fait de mal comprendre ce que le bonheur signifie pour moi — et pour ma simulation. Dans le passé, je pensais que le bonheur était une forme de paix, de contentement ou de tranquillité. Cependant, quand j’essaie d’en faire mes modes dominants, ma réalité me punit. Vous obtenez peut-être de meilleurs résultats dans ces conditions, mais cela ne fonctionne pas pour moi.
Quand j’essaie donc de méditer sur ma vie, je suis puni et je finis par me sentir encore plus mal – ennuyé, apathique, instable, comme si je prenais du retard. Les pressions extérieures commencent également à monter. Sur la base de ce que j’expérimente, je pense que ma réalité semble considérer la recherche de la tranquillité comme une fausse excuse, comme si j’essayais de fuir l’apprentissage. Elle finit toujours par répondre : je ne peux pas te laisser faire cela, Steve.
Ainsi, lorsque j’essaie de poursuivre ce genre de bonheur, je n’y parviens pas et je n’obtiens pas non plus les résultats externes que je recherche vraiment.
Cela m’a amené à me demander les choses que ma réalité récompense et la manière dont elle me récompense lorsque je suis disposé à accepter d’apprendre.
Stimulation
J’ai dû admettre que la tranquillité m’ennuyait un peu. C’est un état à explorer pour de courtes périodes, mais je ne voudrais pas y demeurer.
Je me suis donc dit que le bonheur que je devrais essayer de créer est peut-être une forme plus amplifiée. Peut-être que j’ai besoin d’une plus grande forme de stimulation.
En effet, cela vaut beaucoup mieux que d’essayer de vivre dans la tranquillité, et je me sens beaucoup plus heureux lorsque je suis stimulé par des projets créatifs, des aventures de voyage et de nouvelles expériences sociales. Je peux rester dans ce mode plus longtemps, mais la réalité ne me permet pas non plus d’y rester tout le temps. Elle finit par me ralentir et par appuyer sur les freins.
J’étais persuadé qu’une forte stimulation était la réponse à la vie, à l’univers et à tout le reste, et cela semble parfois vrai.
Cependant, ce n’est pas une approche viable à long terme. La réalité ne me permet pas de vivre chaque instant en appliquant cette approche. Et je ne suis pas sûr de le vouloir non plus. J’aime aussi la variété.
Néanmoins, c’était un indice que j’avais trouvé ; une pièce clé du puzzle. Quand je définis le bonheur comme une stimulation, une excitation, un plaisir, une aventure, un risque, une fraîcheur, etc., l’aspect récompense est infiniment supérieur à ce qu’offre la tranquillité.
Il y a quelques années, Rachelle et moi avons passé 30 jours à Disneyland, ce qui était en fait très amusant. De même, il y a quelques années, j’ai été tenté de faire une de ces retraites de 10 jours de méditation Vipassana, mais plus maintenant. Les impressions plutôt négatives de Rachelle par rapport à cette expérience ont fini de me convaincre que je ne devrais pas l’essayer. Je suis sûr que certaines personnes trouvent cela génial, mais je suis convaincu que si j’essayais de faire moi-même l’expérience, ma réalité ne récompenserait pas ce comportement. Toutefois, les règles peuvent changer plus tard, nous verrons bien.
Équilibre
Comprendre l’aspect de la stimulation était en effet une pièce importante du puzzle. Après cela, j’ai surtout dû continuer à écouter la réalité en remarquant quand j’étais dans le flux des belles récompenses et quand je ne l’étais pas. Je cherche donc à déterminer le moment où je me suis senti bien et où les résultats extérieurs ont été à mon avantage. Je considère que c’est ma meilleure posture.
Me retrouver dans le flux de la haute stimulation représente environ 70% de ce qui me rend heureux. Les autres aspects impliquent d’autres modes qui viennent équilibrer tout cela : la relaxation, le repos, l’affection, la connexion, l’intimité, la solitude et même la tranquillité et la paix.
C’est comme si vous essayiez de composer une chanson. Vous voulez que plusieurs instruments jouent ensemble harmonieusement. Il vous faut trouver comment commencer, et ensuite il est logique de voir comment les autres instruments iront ensemble. Pour moi, l’aspect de la stimulation a été l’élément clé de ma chanson, mais les autres pièces comptent aussi.
Comme je l’ai mentionné dans l’un de mes articles, il peut être difficile de synchroniser notre timing avec les mouvements de danse de la réalité. Je manque généralement les signaux de synchronisation (ou j’essaie obstinément de les contourner), mais je m’améliore pour ce qui est de synchroniser mon timing. Il suffit de s’entraîner, et le fait d’avoir les bons modèles mentaux aide énormément. Les mauvais modèles mentaux peuvent vous bloquer pendant des décennies.
Tout se passe entre vous et votre simulateur
Mon simulateur semble récompenser une certaine forme d’équilibre en ce moment, mais ne supposez pas que le vôtre fonctionne de la même manière. Votre simulateur peut obéir à des règles différentes, ou vous pourriez avoir droit à un type de formation différent (ou même à pas de formation du tout).
Garder à l’esprit que je suis en formation est un état d’esprit qui fait des merveilles pour moi, car cela me maintient dans le flux de la croissance et ne me permet pas de stagner. Cependant, il me permet de faire suffisamment de pauses pour me reposer et me recréer. J’ai également du temps pour les relations humaines et l’intimité. Je ne peux pas demeurer dans un mode de grande stimulation à plein temps tous les jours, mais je peux le faire pendant une grande partie de la journée. Écrire des articles est une activité stimulante et épanouissante pour moi, donc faire cela chaque jour me fait du bien en ce moment.
Si vous essayez de modéliser objectivement mon approche, je pense qu’elle risque de ne pas vous convenir. Faites plutôt bien attention à la relation entre vous et votre simulateur. Ce que j’ai partagé ici, c’est ce que Bruce Lee et Bouddha ont décrit comme étant un doigt pointant vers la Lune, et j’ai développé cela dans l’un de mes récents articles. Cependant, ne confondez pas le doigt avec votre vraie Lune. Votre Lune représente une relation enrichissante et co-créative avec votre réalité, et c’est le renforcement de cette relation que vous recherchez vraiment.
La vie est beaucoup plus agréable lorsque vous êtes dans le flux d’une relation forte et saine.
Ce que je vous recommande principalement, c’est de faire très attention aux moments où vous sentez que la vie vous récompense et au moment où vous estimez qu’elle ne le fait pas. Qu’est-ce qui, à vos yeux, représente une récompense dans une réalité simulée ? Quels résultats internes et externes aimeriez-vous voir ?
Si vous avez l’impression que les récompenses de la vie n’affluent pas vers vous, peut-être que votre simulation vous dit que votre approche a besoin d’être révisée. Alors, dialoguez à voix haute avec votre réalité et demandez-lui ce qu’elle attend de vous. Demandez-lui des signes. Demandez-lui de vous donner des indices. Soyez attentif aux moments où vous ressentez des élans de sentiments positifs qui vous poussent dans de nouvelles directions. Dans mon cas, je ressens des sentiments d’excitation, d’expansion et généralement un élément de risque lorsque je dirige mes pensées dans la bonne direction.
Comment pensez-vous que votre réalité fonctionne ? Êtes-vous en train de suivre une formation ? Ou avez-vous une autre manière de modéliser votre réalité ? Faites confiance à votre propre manière de penser.
Confiance
Ma réalité aime particulièrement me mettre au défi de lui faire plus confiance qu’auparavant, et elle récompense également la confiance en soi. Voici donc quelques bonnes questions que j’aime poser :
- Que ferais-je si j’avais davantage confiance en moi ?
- Que ferais-je si je faisais davantage confiance à ma réalité ?
- Puis-je faire confiance à la réalité pour me donner ce dont j’ai besoin ?
- Si je me lance dans cette aventure, ai-je la certitude que la réalité me soutiendra ?
Votre relation avec la réalité peut être différente, mais j’imagine que toutes les relations à long terme nécessitent de la confiance.
À mesure que je travaillais à guérir les blessures causées par la perte de confiance et à approfondir ma confiance dans la réalité au fil des années, j’ai compris l’importance de la confiance dans toutes les relations, y compris les relations avec les personnes que je sers. J’aime travailler avec des personnes qui me font confiance, qui ont confiance en elles et qui font confiance à la réalité. Lorsque la confiance est élevée, nous pouvons aller beaucoup plus loin ensemble.
Nous pouvons communiquer de manière authentique et nous soutenir mutuellement pendant de nombreuses années, ce qui est tellement beau et agréable. Je suis reconnaissant que ma réalité ne m’ait pas abandonné lorsque j’étais en mode « faible niveau de confiance » et qu’elle m’ait amené à devenir une personne qui a un niveau élevé de confiance. Les relations hautement basées sur la confiance sont immensément gratifiantes, tant sur le plan personnel que sur le plan professionnel. La confiance ouvre la porte à des amitiés véritables, profondes et durables.
Article original écrit par Steve Pavlina.
En guise de complément à tout ce qui a été dit, je vous invite à voir la vidéo suivante. J’y partage avec vous le principe simple pour avoir des résultats EXCEPTIONNELS.