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Aujourd’hui est le 60ème jour depuis le début de l’expérience du sommeil polyphasique. Il est difficile de se dire que seulement 60 jours ont passé – je me suis plutôt à 120 jours.
Ces dernières semaines, j’ai reçu des mails quotidiens contenant des questions à propos de cette expérience. J’ai répondu à beaucoup de ces questions dans mes précédentes entrées de journal de sommeil polyphasique pour les jours 1 à 30, donc si vous voulez vraiment savoir les détails, c’est le bon endroit où commencer.
Beaucoup des questions restantes concernent diverses options que je n’ai jamais essayées, et je ne me soucie pas de spéculer à leur propos, car elles sont bien trop éloignées de ma propre expérience.
Ce que j’ai testé contenait assez de surprises pour que, en m’aventurant au-delà, je risque de simplement tâtonner dans le noir. Pour répondre à ces questions spéculatives, je dirais simplement, « Votre avis est aussi bon que le mien. Si vous voulez savoir ce qui arrive, vous devrez vous lancer et le tester à vos propres risques. » Mes journaux polyphasiques ne doivent être pris que dans l’esprit d’un guide expérimental, pas comme un manuel d’utilisation.
J’ai promis de poster une nouvelle mise à jour au jour 60, alors la voilà.
Oui, je continue encore. Et oui, je suis encore en vie. En ce qui concerne ma santé mentale, certains avanceraient que je l’avais perdue bien avant le début de cette expérience ne commence, donc je vous laisse le loisir de décider.
Ces 30 derniers jours, je suis bien plus à mon aise avec le sommeil polyphasique. Même si l’adaptation physique pendant la première semaine a été très difficile, l’adaptation psychologique a présenté une toute autre sorte de défi. Cela m’a pris plusieurs semaines de vraiment ressentir tout cela comme « normal ».
Ma famille s’est adaptée à mes habitudes de sommeil déphasées relativement facilement. Ma femme me taquine sur mes siestes en cours de journée : « Oooh… bébé Steevie a besoin de sa petite sieste. » Et le petit surnom que j’ai actuellement pour elle est « ourse » parce qu’elle doit hiberner toutes les nuits.
Je trouve cela moins effrayant de voir ma famille comme des ours que comme des vampires inversés. Ma femme m’a dit la nuit dernière qu’elle aimait bien que je sois debout toute la nuit cependant, car cela la fait se sentir plus en sécurité d’avoir quelqu’un qui garde la caverne des ours.
Le gros défi auquel je fais face en ce moment est de trouver comment me servir de tout ce temps de façon équilibrée et durable. C’est bien plus difficile que je ne l’imaginais. Le sommeil polyphasique a entièrement réécrit ma conception du temps, et je n’y étais absolument pas préparée.
Je ne vois plus le temps en termes de jours individuels – maintenant c’est un flux continu et sans fin. Il est largement hors de propos pour moi de savoir que le ciel est noir ou bleu. Au lieu de planifier mon travail en jours séparés, ma liste de choses à faire est devenue une file continue. Cela me cause pourtant certains problèmes.
Le principal problème est le manque complet d’équilibre entre travail, famille, exercice, tâches personnelles, etc. Comme je peux travailler 20 heures par jour, je succombe souvent à la tentation de le faire. Il y a toujours « une tâche de plus » à faire. Et sans longue période de sommeil nocturne pour forcer un redémarrage, quand je rentre en « mode travail », il m’est difficile d’en sortir. Cela n’a plus aucun sens pour moi de dire, « Bon, j’en ai fini pour aujourd’hui.
Je m’y remettrai demain. » Il n’y a pas de demain. Pour moi c’est toujours le même jour. Tout n’est qu’une certaine quantité d’heures qui passe. Au lieu de mettre fin à cette journée parce que j’ai besoin de commencer à ralentir avant d’aller au lit, je m’arrête seulement pour faire des pauses (siestes, repas, temps avec ma famille, exercice, etc.). Et alors il est temps de retourner travailler pour progresser dans cette file. C’est comme si la journée de travail ne se terminait jamais réellement.
C’est super d’arriver à boucler tant de tâches, et mes revenus ont beaucoup augmenté récemment, mais j’ai besoin d’une approche plus équilibrée pour que cela soit durablement viable. J’ai clairement trop travaillé ces derniers temps.
C’est une chose d’être accro au boulot quand vous dormez de façon monophasique, mais le sommeil polyphasique fait passer cette outrance à un tout nouveau niveau. Si vous pensez que travailler 80 heures par semaine est exagéré, imaginez simplement les possibilités d’une semaine de travail de 140 heures.
Au lieu d’arrêter de travailler parce que le soleil se trouve dans sa phase descendante (je perds souvent de vue s’il fait jour ou nuit), j’ai tendance à continuer à travailler jusqu’à ce que je sente que je dois réellement faire une pause.
Et même alors il est difficile d’arrêter de travailler plus de quelques heures avant de revenir dans mon bureau. Comme mon travail est si intrinsèquement gratifiant, mon activité par défaut est simplement de continuer à travailler. Cependant, je reconnais que j’ai besoin de faire plus attention aux autres domaines de ma vie et de ne pas travailler tout le temps.
Quand je dormais de façon monophasique, je ne réalisais pas à quel point mon emploi du temps était enraciné dans cette période de sommeil nocturne. Réveil, exercice, douche, petit-déjeuner, travail, … , dîner, temps avec la famille, lecture, aller au lit, dormir. Mais ce type d’emploi du temps était basé sur le temps de pause entre les jours individuels, où chaque jour suivrait un emploi du temps similaire.
Maintenant que j’ai une conception du temps différente, je ne peux pas simplement suivre l’ancien emploi du temps et ajouter de nouvelles activités pendant la nuit. Cela ne me semble simplement pas adéquat. Le sommeil polyphasique n’est PAS la même chose que du sommeil polyphasique avec quelques heures de plus chaque jour. Loin s’en faut. C’est un changement bien plus important, à la fois enivrant et perturbant.
Ce que j’ai besoin de faire pour résoudre ce problème est de rééquilibrer mes objectifs de A à Z. Cette année mon principal but a été de bâtir ce site web et d’amener mon affaire à la rentabilité, de sorte que mes principaux objectifs étaient centrés autour de mon travail.
Cela ne me dérangeait pas de permettre à d’autres domaines de ma vie de stagner ou même de décliner légèrement. Mais maintenant que j’ai atteint ce que je sens être le point de rentabilité durable, je n’ai pas besoin de me pousser comme un monomaniaque. Déjà, ce serait bien de prendre un peu de temps libre pour voyager. Savez-vous que je n’ai jamais voyagé hors des États-Unis ? Je ne suis même jamais allé au Mexique ou au Canada.
En fait, il y a beaucoup de villes américaines que je n’ai jamais visitées, y compris New York et Seattle. Je pense que la dernière fois que j’ai pris des vacances qui ont duré plus de 4 jours, j’étais adolescent. Cela servirait certainement ma propre évolution personnelle de sortir et de voir davantage le monde, et pas simplement les versions de Paris et de Venise qu’on trouve à Vegas, ainsi que les hôtels New York New York.
Le sommeil polyphasique amplifiera la personne que vous êtes déjà. Donc si vous avez quelques petits déséquilibres, avec le sommeil polyphasique ils deviendront plus prononcés. Les grandes habitudes vous serviront mieux. Les mauvaises habitudes vous blesseront encore plus. Passer en polyphasique a mis au jour des domaines déséquilibrés de ma vie que j’ai besoin de gérer. En sommeil monophasique je pouvais les ignorer, mais en sommeil polyphasique ils sont trop évidents pour être ignorés.
Pourquoi moi ?
Peut-être que la question n°1 que les gens m’ont posé à propos du sommeil polyphasique pendant les 30 dernières années était : Pourquoi moi ? Pourquoi donc est-ce que je parais capable de m’adapter au sommeil polyphasique alors que tant d’autres ont essayé et échoué ? Je ne suis pas le seul à avoir fait ça, mais j’ai bien le mérite d’être quelqu’un qui a fait cette adaptation récemment et qui a fait durer cela plus de quelques semaines.
Bien que 60 jours ne suffisent pas à faire de cela un succès à vie, il est très inhabituel pour quiconque de durer aussi longtemps, ce qui fait que c’est suffisamment rare pour que beaucoup de gens se soient intéressés à cette expérience. J’ai compté des dizaines de personnes qui ont commencé à tester le sommeil polyphasique après avoir lu mes journaux (et leur avoir accordé du crédit).
J’ai revu les journaux de ceux qui ont récemment tenté de s’adapter au sommeil polyphasique, et cela m’a aidé à identifier certaines différences clés qui pourraient m’avoir donné un avantage que d’autres n’ont pas eu :
Flexibilité
Je travaille de chez moi et j’ai un contrôle complet sur mon emploi du temps. Aussi je n’ai pas de travail et pas de patron. Et je peux travailler de jour comme de nuit. J’ai mis de côté deux semaines complètes pour ma période d’adaptation physique, sans aucun rendez-vous, aucune réunion ou obligation externe, et si besoin, j’aurais pu la prolonger encore plus longtemps.
Cela ne me posait aucun problème d’être un zombie parce que je n’étais pas censé aller bien. Je ne conduisais pas du tout la voiture pendant toute la première semaine. J’ai donné à mon corps toute la place dont il avait besoin pour passer la période d’adaptation sans pression excessive. J’ai permis à cette adaptation se se passer avec le temps qu’il lui fallait plutôt que de la forcer à tenir dans un week-end de 3 jours.
Lève-tôt
J’étais un lève-tôt avant de commencer cette expérience. Aussi je me levais normalement à 5 heures du matin. Je pense que cette expérience de changement de mes habitudes de sommeil m’a beaucoup aidé. Je me suis déjà conditionné à sauter du lit dès la sonnerie du réveil – aucune négociation mentale avec moi-même.
Une grande part du succès du sommeil polyphasique est lié au fait d’être capable de se lever aussitôt que la sieste est finie et de ne pas retomber dans le sommeil. À mon avis c’est un des aspects les plus difficiles de l’adaptation. À l’âge de 19 ans, je dormais souvent de 2h du matin à quasiment midi. Juste avant de m’habituer au sommeil polyphasique, ma période de sommeil normale était environ de 22h30 à 5h.
Pas de caféine
Je ne suis pas un buveur régulier de caféine. Même si j’aime bien boire une tasse de café ou de thé de temps en temps, ce n’est pas une chose que je fais quotidiennement. Je n’ai pas de café chez moi. Je passe souvent plusieurs mois sans caféine. La caféine est connue pour interférer avec le sommeil paradoxal, donc si vous consommez de la caféine, y compris le soda, je pense que cela peut vraiment compliquer l’adaptation au sommeil polyphasique.
100% végétalien
Je suis végétalien depuis 1997 et lacto-ovo-végétarien depuis 1993. Je n’ai donc pas mangé un seul burger en 12 ans (sauf les burgers aux légumes). Et je ne consomme absolument aucun produit d’origine animale, et la plupart de la nourriture que je mange est bio.
Il a été prouvé que les herbivores ont besoin de beaucoup moins de sommeil que les omnivores et les carnivores. D’autres qui ont essayé le sommeil polyphasique ont souvent noté dans leurs journaux que l’alimentation semble jouer un grand rôle dans leur adaptation au sommeil polyphasique. Si vous mangez des aliments plus lourds contenant des produits d’origine animale, ils auront besoin de plus de temps et d’énergie pour être digérés, et vous aurez plus de chances d’être vaincu par la somnolence.
Je pense que mon alimentation a joué un rôle clé dans ma capacité à m’adapter au sommeil polyphasique. Je ne suis pas sûr que j’aurais pu le faire autrement. Quand je mangeais des animaux, mes habitudes de sommeil étaient très différentes – j’ai déjà mentionné ces différences dans le chapitre « lève-tôt » ci-dessus.
Motivation
J’avais plus de raisons de réussir le sommeil polyphasique que la plupart des gens.Le développement personnel est mon domaine, donc cette expérience était quelque chose que je voyais comme faisant partie de mon travail, que cela réussisse ou échoue. Ce n’était pas simplement un projet parallèle ou une expérience personnelle.
De même, étant donné que je bloguais à propos de l’expérience, il y avait des milliers de personnes autour du monde qui me regardaient. C’est une motivation assez forte pour que je fasse vraiment de mon mieux.
Imaginez ce que cela donnerait si votre expérience de sommeil polyphasique était télévisée. Cela allait être soit une grande réussite soit un grand échec – les deux résultats ne me posaient pas de problème, mais tourner court sans que personne ne le remarque n’étais pas une option viable pour moi.
Si vous tentez le sommeil polyphasique tout seul, sans personne pour regarder, il est bien plus facile d’abandonner au lieu de pousser votre corps à obtenir un succès ou un échec. En faire une expérience publique a rendu plus facile pour moi de réduire les chances d’abandonner.
Attitude
Je suis entré dans cette expérience avec un grand respect et une grande humilité quant à la difficulté qui allait m’attendre, mais je suis aussi resté concentré sur la réussite, pas sur un possible échec. Je ne me suis pas autorisé le luxe d’échouer dans ma tête de prime abord. Si j’échouais, cela serait parce que mon corps ne pourrait le supporter, pas parce que j’avais abandonné dans ma tête. Ainsi l’échec serait externe, pas interne.
Dans le même temps, j’ai vu cela comme une expérience, donc je n’ai pas investi mon ego dans ces résultats. Je n’allais pas battre ma coulpe si je n’y arrivais pas. Il n’y a aucune honte à faire tout ce que l’on peut et à être terrassé par des limites physiques. Soit j’allais m’adapter au sommeil polyphasique, soit j’allais vivre une expérience enrichissante. Et dans les deux cas cela pourrait bénéficier aux autres d’en voir les résultats.
Autodiscipline
J’ai une super boîte à outils de stratégies d’autodiscipline que j’ai apprises ces 15 dernières années environ. Cela n’a pas rendu l’adaptation plus facile, mais cela a augmenté ma capacité à garder le cap malgré les défis. C’est comme être un bodybuildeur qui serait capable de soulever des poids plus lourds que la personne lambda. Si vous développez le muscle de l’autodiscipline, cela arrive évidemment à point nommé quand vous avez besoin de cette force supplémentaire.
Le poids est tout aussi lourd, mais votre capacité à soulever des poids est plus grande. Je pense que l’autodiscipline a joué un rôle dans mon expérience, mais bien moins que je ne m’y attendais. Je pense que mon précédent conditionnement de lève-tôt était un facteur plus significatif dans ma capacité à me lever dès que le réveil sonnait. Donc je pense qu’il pourrait être utile de devenir un lève-tôt pendant quelques mois avant de tenter le sommeil polyphasique.
Cet objectif reste un défi, mais c’est loin d’être aussi difficile que de s’adapter à un sommeil polyphasique complet. Si votre autodiscipline est très faible; alors vous pourriez avoir besoin de la renforcer un peu avant de tenter de prendre le contrôle de vos habitudes de sommeil. Lisez la série de 6 articles sur l’autodiscipline pour avoir quelques conseils à ce propos. Et soyez aussi patient que possible avec vous-même.
Étre à l’aise
Si vous vous convertissez actuellement au sommeil polyphasique, vous serez toujours hors-phase avec le reste du monde. Cela pourrait être un obstacle sérieux si vous êtes quelqu’un; qui accorde plus de valeur à la sécurité chiffrée et qui veut rester dans la masse.
Si vous êtes trop conscient personnellement du fait d’être différent dans votre façon de faire les choses, cela peut facilement fournir une raison importante d’abandonner quand cela commencera à devenir difficile. Si vous voulez dormir de façon polyphasique, vous devez être à l’aise avec le fait d’être étrange.
Comparé à la personne moyenne, le sommeil polyphasique est hautement anormal. Je n’ai aucun problème avec le fait d’être différent de la plupart des gens, donc ce n’était pas un obstacle pour moi. Étant daltonien et gaucher, j’ai appris dès mon plus jeune âge à accepter ma singularité et à ne pas me soucier d’être normal. Je ne peux même pas voir la couleur rouge.
Expérience
J’ai 34 ans, donc j’ai une expérience de vie bien plus grande que l’étudiant typique de 20 ans. Je voix beaucoup d’étudiants qui tentent le sommeil polyphasique; mais aucun n’a semblé apparemment être capable de s’y adapter avec succès. Passer la période d’adaptation est très, très dur.
Si vous regardez la façon dont les gens se débrouillent, les chances de succès sont très faibles. Si j’avais essayé le sommeil polyphasique quand j’étais étudiant, je ne suis pas sûr que j’aurais pu y arriver. À l’université je n’étais pas encore un lève-tôt ou végétalien; mon autodiscipline était plus faible, mon emploi du temps n’était pas aussi flexible; et j’étais loin d’avoir autant de connaissances et d’expérience en développement personnel.
Je pourrais avoir eu un plus grand enthousiasme juvénile pour faire le test; mais je n’aurais pas été aussi bon dans la gestion de mon énergie et de mon rythme. Je pense que j’aurais probablement commencé avec beaucoup de passion; puis que cela se serait éteint au bout de quelques jours. Si vous pouvez gérer l’adaptation au sommeil polyphasique vers 20 ans; je pense que vous être un être humain incroyable.
Vous pouvez spéculer sur d’autres différences comme les gènes; (peut-être que le gène du daltonisme m’a donné quelque part des pouvoirs polyphasiques ???); mais les différences ci-dessus sont celles que je considère comme ayant joué un rôle significatif dans mon adaptation.
Chacun de ces facteurs pourrait avoir une différence de type « ça passe ou ça casse »; mais quand vous les mettez tous ensemble; je pense que cela me donne pas mal d’avance par rapport à la plupart des gens. Je ne suis pas du tout surpris que la plupart des gens; qui tentent de passer au sommeil polyphasique n’arrivent pas à le faire plus de quelques jours.
Ce n’est pas automatiquement facile. Même si vous passez la période d’adaptation initiale, je trouve que l’ajustement émotionnel/psychologique est également un vrai défi. Il est facile de trouver une raison de s’arrêter à un certain moment. Vous devez être un individu plutôt tordu pour même essayer quelque chose comme ça.
J’ai prévu de poster une autre mise à jour du sommeil polyphasique au jour 90. D’ici là, je vais voir si je peux m’attaquer aux presque 100 questions des lecteurs que j’ai. Et j’espère vraiment que je vais trouver comment prendre des vacances à un moment.
Article original écrit par Steve Pavlina.
Avant de prendre congé de nous, voici une vidéo complémentaire sur le sujet; « comment bien dormir : mes techniques et astuces pour retrouver le sommeil 20/365 »
Bonjour et merci pour tes articles,
j’ai très envie de tester le sommeil polyphasique mais je repousse le début à chaque fois en me disant que ce n’est pas le moment !
Bon sinon devenir végétalien je ne vais vraiment pas pouvoir ! ^^