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La zone de confort… La fameuse zone de confort dont tout le monde parle ! Cette expression est très en vogue tant dans le domaine du monde du travail; dans le milieu du sport ou dans les domaines liés au développement personnel.
Généralement évoquée pour tracer un chemin de progrès ou un état à atteindre. C’est une expression finalement assez paradoxale, si l’on y réfléchit bien. Alors qu’elle renvoie à une notion d’aisance, de confort et de bien-être; la majorité des recherches que vous ferez sur Google vous renverront vers des titres comme : « Êtes-vous dans votre zone de confort ? » (sous-entendu vous en satisfaites-vous ?), « comment sortir de sa zone de confort ? » ou pire… « pourquoi faut-il sortir de sa zone de confort ? »…
Bref, à lire ces intitulés on comprend que cette formule bien qu’elle soit composée de termes plutôt positifs; sous-entend une forme de « menace » ou de « danger ».
Dans cet article, nous allons essayer d’explorer en profondeur ce concept de zone de confort pour en comprendre les tenants et les aboutissants, car une chose est certaine… Que ce soit au travail, dans nos loisirs, en amour ou plus généralement dans nos habitudes du quotidien, il n’existe pas une seule journée où nous n’avons pas l’occasion d’expérimenter cette démarche visant à connaître d’autres expériences pour lesquelles nous sommes moins à l’aise.
Note : Cet article invité a été écrit par Nicolas du blog Développer sa confiance
1) Constat : nous avons tous des peurs
a) Qu’est-ce que la fameuse « zone de confort » ?
Avant d’aller plus loin, il est nécessaire de s’entendre sur le sens exact donné à cette tournure. Si l’on synthétise la définition donnée sur Wikipédia; la zone de confort est définie comme étant « un état psychologique dans lequel un être humain se sent à l’aise ».
De manière concrète, chacun peut très facilement comprendre et percevoir la signification en se remémorant différents événements de sa vie. A l’école, nous avions tous des préférences et des prédilections pour certaines matières plutôt que pour d’autres. Personnellement j’étais très à l’aise avec les mathématiques, tandis que le français me demandait plus d’efforts. Lors du permis de conduire certains sont plus à l’aise lors de l’épreuve du code, de la partie théorique. Alors que d’autres préfèrent la partie consacrée à la conduite…
On peut citer ainsi des exemples dans tout un tas de domaines. Mais les idées systématiquement associées sont donc les notions de performance, de confort et de facilité.
L’intérêt de faire ce point sur la signification de l’expression est aussi de commencer à comprendre; pourquoi nos fameux résultats Google évoqués en introduction semblent tous associer des termes négatifs. En effet, s’il existe un aspect agréable à être dans la zone en question. Il est parfaitement possible de déduire que tant que l’atteinte de ce niveau n’est pas réelle, nous sommes en souffrance.
Le terme de souffrance est certes un peu fort. Mais il exprime bien les idées de difficulté et de pénibilité que la grande majorité des articles trouvés sur internet cherchent à vous expliquer comment les atténuer.
Ceci explique que généralement, l’être humain refusant instinctivement la « douleur », fuira cette zone d’inconfort. On peut d’ailleurs associer, du coup, une autre expression à la mode, celle de « procrastination », ou l’art de reporter systématiquement à plus tard des tâches ou des devoirs…
Lorsqu’une personne procrastine, c’est précisément qu’elle refuse de sortir de sa zone de confort.
On ne remet pas à demain ce que l’on sait faire avec facilité et rapidité. Par contre, l’existence d’une crainte consciente ou inconsciente peut expliquer cette tendance à ne pas vouloir vivre un événement.
b) Identifier, comprendre et accepter ses peurs
Donc comme nous venons de le voir, la procrastination et le fait de se complaire à rester dans sa zone de confort, sont intimement liés à un phénomène de peur.
L’étape logique qui en découle, si l’on désire trouver une solution, est naturellement de commencer par identifier les différents types de peurs que l’on peut ressentir.
A ce stade de la réflexion, on peut faire un parallèle avec la théorie d’Abraham Maslow, sur les besoins de l’homme (même si elle est « critiquable » sur certains aspects).
Maslow a conceptualisé les priorités de l’être humain sous la forme d’une pyramide. La base de cette pyramide, plus large et sur laquelle tout repose, est constituée par les besoins dits « primaires ». Plus on monte vers la pointe de la pyramide, moins les besoins sont essentiels.
Maslow distingue ainsi par ordre d’importance les besoins :
- Physiologiques (manger et boire)
- De sécurité (se sentir à l’abri du danger)
- D’appartenance (à un groupe social)
- D’estime de soi (liés au regard de l’autre et à celui que l’on porte sur soi-même)
- De se réaliser (liés à la volonté d’accomplir ce qui comptent à nos yeux)
Il est évident que l’on peut faire un lien entre la zone de confort, ou plutôt entre le sentiment de peur et la théorie de Maslow. Si on y réfléchit bien nos craintes proviennent de la peur de perdre la satisfaction de nos besoins… Et plus les besoins sont essentiels et vitaux (donc à la base de la pyramide), plus l’intensité de l’angoisse est forte. Il est évident que l’on redoute plus de ne pas avoir de toit sur la tête, que de ne pas être estimé par son patron.
Charles Darwin, en son temps, décrivait la peur (c’est à dire le besoin de sécurité) comme vitale à la survie d’une espèce. C’est parce qu’elle sait que le moindre bruit est signe d’une mort imminente qu’une antilope, reste sur le qui vive en permanence.
En comprenant que le fait de ressentir de la peur est quelque chose de naturel, d’essentiel voire même vital à sa survie, il est déjà plus facile pour l’être humain de comprendre pourquoi il existe une zone d’inconfort. Ce travail de prise de conscience est une première étape essentielle.
c) Le jour où j’ai osé demander une année sabbatique
Je suis convaincu à 101% qu’il n’existe pas une personne sur cette terre qui n’ait de peurs, de zones d’inconfort ou simplement ne se pose des questions dans certaines situations, systématiquement.
Une fois compris cela, il m’a été plus facile d’accepter de chercher la mienne (LES miennes en fait), sans gêne de ne pas être « superman ».
Je n’ai pas la peur de prendre la parole en public, ou celle de monter sur une scène devant une salle comble, non…
De manière assez évidente, mes peurs à moi étaient plus celles de l’inconnu (de faire des choses nouvelles dans un lieu inconnu) et celle de l’inconfort (sur le plan matériel).
Je sais que ces angoisses me limitent énormément. Ou plutôt, me limitaient énormément…
Je crois énormément au destin, pour moi rien n’arrive par hasard. Parfois ce que l’on prend comme des accidents de la vie agissent comme les plus beaux déclics. Personnellement, je suis paradoxalement convaincu que mes gros problèmes de santé dont j’ai guéri ont peut-être été la meilleure chose qui me soit arrivée.
Après avoir réalisé que le temps passait horriblement vite, je me suis mis en tête de travailler sur mes peurs pour OSER réaliser mes rêves, à commencer par celui de partir avec mon sac à dos à l’aventure.
Mais pour concrétiser ce qui n’était qu’un fantasme, je savais que j’aurais à vaincre mes peurs profondes. Là, j’ai commencé par chercher à comprendre d’où elles me venaient en me plongeant dans les travaux du psychologue Carl Gustav Jung, et du MBTI.
Après m’être formé, avoir fréquenté des forums sur le sujet, avoir lu pas mal de bouquins et avoir mis en pratique la technique du Kaizen (technique japonaise des petits pas), j’ai compris que mes peurs n’étaient qu’illusions.
Dès lors, sachant que mon profil MBTI expliquait parfaitement ces freins innés, et avec un peu d’entrainement, j’ai osé sauter le pas :
Demander à ma Société un congé sabbatique de 11 mois.
2) Affronter ses peurs
a) Qu’est-ce qu’une peur ?
A cette question, plusieurs définitions sont possibles…
Si on regarde du côté du dictionnaire, une peur serait « un sentiment d’angoisse éprouvé en la présence ou à la pensée d’un danger, réel ou supposé, d’une menace ».
On retrouve bien la notion d’inconfort évoquée précédemment.
Mais si on s’intéresse aux travaux de Charles Darwin, on peut trouver un autre éclairage. Ce naturaliste et paléontologue britannique du XIXème siècle consacra l’essentiel de ses travaux à étudier l’origine des espèces et la loi régissant leur évolution au cours des millénaires.
Si on se fie aux résultats de son œuvre, la peur serait en fait instinctive et aurait garanti à l’homme sa survie. C’est parce que l’homme des cavernes avait peur de certains animaux sauvages, et donc peur pour sa survie, qu’il a dû s’adapter, grandir et évoluer.
Mais ce qui est valable pour l’homme depuis 200.000 ans l’est tout autant pour les autres espèces animales… L’antilope a cette particularité de courir très vite car elle devait être capable d’échapper à ses prédateurs. L’autre grande théorie de Darwin, sur la sélection naturelle, explique qu’au fil des siècles seules les plus performantes, les plus véloces, ont survécu transmettant leurs gènes de génération en génération…
Vue sous cet angle la peur serait donc salvatrice, finalement. C’est grâce à elle que les espèces survivent et que l’homme a traversé les âges.
Accepter cette logique, signifie que la peur serait innée et donc que tous les êtres sans exception auraient ce sentiment en eux. Se dire que Sylvester Stallone, Donald Trump, Mike Tyson, Vladimir Poutine ont également peur, c’est déjà rassurant.
Et ceci est justement formidable, car cela signifie que nous-mêmes sommes aussi capables, même si nous avons des angoisses.
b) Distinguer les peurs et les phobies
Si l’on s’attache à la signification précise des mots, on se doit de distinguer ces deux termes. C’est vrai que dans le langage courant on les utilise facilement l’un à la place de l’autre.
Mais il y a des nuances intéressantes sur lesquelles on peut se pencher.
Selon le Larousse, une peur est un « sentiment d’angoisse éprouvé en présence ou à la pensée d’un danger, réel ou supposé. »
Tandis qu’une phobie est définie comme « une crainte angoissante et injustifiée d’une situation, d’un objet ou d’une action. »
Les deux définitions peuvent paraître les mêmes, utilisant les mêmes mots ou des synonymes.
La seule différence réside dans un seul mot… Le mot « injustifiée ».
Les peurs sont généralement communes à une espèce, donc ancrées dans les gênes. On peut dire que la grande majorité des humains a peur de la mort, de l’obscurité ou des serpents…
A l’inverse les phobies sont des angoisses spécifiques et irrationnelles. Par là il faut comprendre qu’elles sont rares et non inscrites dans l’ADN humaine. Elles ne font pas partie des peurs qui ont, à travers les siècles, permis la survie de l’espèce.
Quand on évoque le fait de chercher à sortir de sa zone de confort, on sous-entend le fait de dépasser ses peurs et non ses phobies.
Les premières peuvent être travaillées, atténuées voire vaincues par des actions et de l’entraînement. Les secondes nécessitent généralement un traitement plus profond et basé sur la psychologie.
c) Comment j’ai vaincu ma peur de l’inconnu
Comme je l’ai expliqué précédemment, pour arriver à vivre mon rêve de voyage en solitaire au long cours, j’ai dû travailler sur mes peurs une fois identifiées grâce au MBTI.
Ainsi ayant vu écrit noir sur blanc que mon profil d’ESFJ (l’un des 16 types décrit par le modèle) se complaisait dans ses habitudes (qui le rassuraient outre mesure), appréciait particulièrement le confort de son petit chez lui, j’ai décidé d’appliquer ma méthode.
Celle du Kaizen dont je parlais précédemment. Cette méthode surtout connue dans le milieu du travail visant à décomposer les tâches, est traduite du japonais au français par technique des petits pas.
En franchissant de petits obstacles sans grande difficulté pendant un certain temps, on se convainc que l’impossible est réalisable. Regarder le sommet de l’Alpes d’Huez est la dernière chose qu’un cycliste doit faire. Ce n’est que virage après virage, épingle après épingle, qu’il arrivera au sommet.
C’est exactement la méthode que j’ai utilisée pour surpasser mes 2 peurs.
Ainsi pour me prouver que je pouvais parfaitement vivre sans le confort de mon appartement de ville, j’ai passé une semaine à faire du canoë de mer, à bivouaquer sur la plage dormant à la belle étoile, au sein d’un groupe et accompagné d’un guide (tout de même), et là j’ai réalisé en être parfaitement capable.
Pour dépasser ma peur de l’inconnu, j’ai décidé de me sur-préparer ! De la planification de mon parcours étape par étape, sur un fichier excel, avec les distances, les données météo, à la préparation de mon sac à dos rien n’a été laissé au hasard.
A défaut de savoir où je mettais les pieds je savais que je ne pouvais pas être mieux préparé…
Tel un étudiant qui n’a fait aucune impasse sur ses cours à réviser, cela m’enlevait une bonne dose d’inquiétude !
3) La magie se situe au-delà de nos peurs
a) Améliorer sa connaissance de soi avec le MBTI
La clé, selon moi se situe donc dans la capacité qu’a un individu à améliorer sa connaissance de lui-même. Plus on se connaît, plus on s’accepte et moins on redoute ce qui peut se passer.
C’est aussi bête que cela !
On ne peut contrôler le monde extérieur, du moins pas entièrement donc autant se concentrer sur ce que nous sommes les mieux placés de changer… Notre personne !
Pour y parvenir, vous avez le choix parmi les nombreux domaines du développement personnel.
Comme dit précédemment, l’axe sur lequel je me suis concentré, a donc été (et est encore) la compréhension de mon fonctionnement neurologique, et plus précisément de mes fonctions cognitives.
Ce serait un peu long à expliquer dans un chapitre d’article, mais le MBTI (Myers Briggs Type Indicator), ouvre des portes incroyables vers la compréhension de nos agissements.
En résumé Carl Jung et de nombreux autres psychologues au cours du XXème siècle, ont élaboré un modèle basé sur 4 axes, correspondants à 4 préférences de fonctionnement de notre cerveau.
Les 4 axes sont :
- La préférence qu’un être a pour trouver son énergie, en se connectant au maximum de personnes ou au contraire en cherchant à s’isoler
- Celle qui l’amène dans son quotidien à recueillir les informations du monde extérieur en optant plus pour l’utilisation de ses 5 sens ou pour la mise à profit de son intuition (son 6ème sens)
- Sa prédilection quant à sa façon de réagir une fois les informations collectées, utilisant de préférence son cerveau et sa logique ou plutôt son coeur et ses émotions.
- Enfin le 4ème axe, défini par ces psychologues, est celui du style vie plutôt orienté sur les possibilités ou sur l’instant présent.
Il est cependant capital de comprendre quelques règles. Comme vous êtes droitier ou gaucher pour écrire, vous êtes tout de même capable de prendre le stylo de l’autre main. Mais vous serez moins à l’aise, moins efficace, moins rapide dans l’action et le rendu ne sera pas aussi bon.
C’est exactement la même chose avec vos fonctions cognitives.
Si vous avez une préférence pour prendre vos décisions de manière cartésienne, cela ne veut pas dire que vous êtes totalement imperméable aux signaux émis par votre affect.
Au final, en mixant toutes les combinaisons de ces 4 prédilections le MBTI aboutit à une matrice regroupant 16 profils, dont les descriptifs de personnalité sont d’une précision incroyable.
C’est ainsi que dans mon cas, lisant le détail des traits de caractère de l’ESFJ (mon profil parmi les 16), j’ai compris que mon goût pour les habitudes, mon inconfort démesuré à les changer, ma peur de l’inconnu étaient intrinsèques à mon fonctionnement.
b) Grandir en dépassant ses peurs
J’ai mis longtemps, très longtemps à comprendre cette règle : on ne peut grandir que dans l’inconfort.
Il est illusoire de penser que l’être humain peut apprendre sans se frotter à la vie; sans se heurter à l’échec. Abraham Twerski explique très bien ce phénomène dans une vidéo Youtube. Plus qu’une métaphore, il décrit le cas réel du homard qui est animal au corps mou dans une carapace dure. Il décrit qu’au fur et à mesure de sa croissance; il est de plus en plus incommodé dans son « armure figée » qui elle, n’évolue pas.
De ce fait il est obligé, de se débarrasser de sa carapace plusieurs fois au cours de son existence. Et que le signal déclencheur est justement le stress et la sensation d’inconfort.
Pour en revenir à la peur, c’est aussi une forme d’inconfort. Mais la vie est bien faite et c’est en se mettant volontairement, consciemment dans une posture que nous n’aurions pas choisie naturellement que l’on progresse.
C’est précisément en nous aidant à réaliser quels sont nos points d’inconfort que le mbti est un outil de développement personnel redoutable.
C’est lorsque j’ai lu que mon « type » MBTI avait une tendance à fuir le conflit, que j’ai commencé à m’entraîner tel un sportif à aller à l’encontre de mon comportement naturel, que j’ai commencé à progresser. J’ai en quelque sorte travailler sur des muscles que je n’utilisais pas et cela m’a conféré de « nouveaux pouvoirs ».
L’avantage c’est qu’il est tout à fait possible de le faire de manière progressive. Commencer à s’affirmer en « osant dire non » plus souvent. Vous savez, cette invitation que vous regrettez sitôt votre acceptation donnée… Et bien c’est par cela que j’ai commencé. Sans forcément être impoli, j’ai commencé à refuser ce que je ne désirais pas sincèrement.
Et de fil en aiguille j’ai augmenté le niveau de difficulté; toujours en prenant garde de ne pas froisser mes interlocuteurs.
Ce qui est génial avec le MBTI, c’est qu’une fois votre appartenance à un des 16 profils identifiés. Vous comprendrez pourquoi vous avez telle ou telle difficulté dans la vie. Et pourrez ainsi commencer à travailler dessus.
Certains profils ont du mal à exprimer leurs sentiments, leurs émotions; lorsque d’autres ont du mal à ne pas prendre une critique comme une attaque personnelle. Certains « types » refusent spontanément l’affrontement quand d’autres sont trop insouciants et ne mesurent pas bien les risques…
Bref, votre croissance future passe forcément par un diagnostic et une prise de conscience. Ensuite seulement viendra la mise en place d’un plan d’actions.
c) La plus belle expérience de ma vie
Dans mon cas, et pour vous prouver que ces concepts théoriques; mis en pratique peuvent déboucher sur des expériences extraordinaires; je tiens à insister sur les bienfaits de mon aventure.
Alors que j’étais une personne ancrée dans ses principes, systématiquement rassurée par ses habitudes, je me suis métamorphosé.
Désormais, j’ose faire des projets « que ma raison n’aurait jamais imaginé ».
Désormais, j’accepte de découvrir beaucoup plus de nouvelles choses et vivre de nouvelles expériences sans frein ou presque.
Et désormais, j’ai l’impression que le monde est accessible et que le champ des possibles est infini !
Moi qui suis fan de liberté quel plus bel aboutissement ?
L’appétit venant en mangeant; je me suis fixé d’autres défis incroyables pour « faire de ma vie un rêve et de mon rêve une réalité »; comme le disait Antoine de Saint Exupéry dans son livre « Le petit prince ».
Mais finalement c’est peut-être George Addair qui résume le mieux l’enjeu; que représente le fait d’oser franchir les limites de ce que l’on connaît.
Pour lui :
« Tout ce que vous avez toujours voulu se trouve de l’autre côté de la peur. » George Addair.
Conclusion pour sortir de sa zone de confort
J’espère qu’à travers cet article j’aurai réussi à vous faire la démonstration; que notre nature humaine nous pousse à rester dans le confort de nos habitudes. Cependant en tant qu’êtres pensants et conscients nous avons tous la possibilité d’aller chercher plus.
Pour conclure cette démonstration je suis obligé de citer celui dont les mots valent tous les longs discours… Cet homme est Jacques Brel !
Il disait : « La bêtise c’est de la paresse. La bêtise c’est un type qui vit, et qui se dit : « ça me suffit. Je vis, je vais bien… ça me suffit »; et qui ne se botte pas le cul tous les matins en se disant « c’est pas assez; tu ne sais pas assez de choses; tu ne vois pas assez de choses, tu ne fais pas assez de choses. »
Comment mieux résumer l’intérêt à sortir de sa zone de confort ?
Nicolas de Développer sa confiance