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Avez-vous parfois l’impression que la personne que vous êtes en ce moment se montre trop hésitante ? Avez-vous l’impression d’être trop ouvert à la voix de l’autocensure ?
Entendez-vous une voix qui vous dissuade régulièrement d’agir ou de partager une idée particulière avec le monde ?
Vous êtes comme l’âne de Buridan, vous demandant quelle serait la meilleure solution entre agir et attendre, et la plupart du temps, vous choisissez de vous abstenir.
Parfois, vous commencez à agir, mais vous interrompez ou supprimez ce que vous avez fait à cause de cette voix qui ne fait que vous opposer des arguments négatifs. Elle vous amène à penser :
- Je n’ai pas vraiment besoin de partager cela.
- Ce n’est pas important.
- Ce que j’ai à dire pourrait ne pas plaire à quelqu’un.
- Et si je me trompais ?
- Et si cela ne se passait pas bien ?
Ce sont les voix de la répression, et nous entendons tous ces voix à divers degrés.
Malheureusement, si nous ne nous entrainons pas suffisamment pour gérer ces sous-réseaux neuronaux, nous finirons par reculer beaucoup trop souvent ce qui aurait pour conséquence de priver potentiellement le monde de la valeur que nous pouvons apporter.
Il est difficile de produire de meilleurs résultats si nous ne prenons pas assez de mesures inspirées.
Le problème de l’autocensure
Le problème avec l’autocensure est le suivant : même s’il est parfois judicieux de se taire, si nous nous taisons trop souvent, nous renforcerons nos schémas mentaux liés à la censure, et cette habitude aura des répercussions dans d’autres domaines de notre vie.
Lorsque vous réprimez vos propres idées, cette répression ne se limitera pas à ces quelques pensées.
Vous entrainerez votre esprit à s’améliorer dans la suppression de toutes vos pensées.
Cela peut vous bloquer — dans un travail que vous n’aimez pas, dans une relation déséquilibrée et dans des habitudes qui ne vous servent pas.
Si vous ne vivez pas encore la vie dont vous rêvez, c’est principalement parce que vous vous autocensurez beaucoup trop souvent.
Comment êtes-vous censé améliorer vos résultats si vous vous retenez autant ?
Vous avez peut-être envie d’aller de l’avant et de prendre des risques. Vous avez peut-être envie de vous dépasser et d’aller vers des activités ou pratiques qui concordent plus avec le genre de personne que vous êtes.
Et puis la voix de l’autocensure et de la répression se fait entendre et vous dissuade de toute action positive.
Vous restez donc dans votre situation actuelle, et une autre année de votre vie s’écoule sans que vous fassiez quelque chose de concret.
Le passage du temps n’est pas tendre avec les gens qui pratiquent à l’excès l’autocensure.
L’hésitation
L’hésitation intervient quand vous avez peur de faire des erreurs. Vous hésitez parce que vous souhaitez faire le choix de la sécurité.
Vous hésitez parce que vous essayez de réduire les dommages que votre personne subit, notamment les dommages physiques, sociaux et financiers.
Le hic cependant, c’est que toutes les erreurs ne se valent pas. Certaines erreurs sont des expériences d’apprentissage extraordinaires.
Les erreurs sont très souvent des tremplins vers le succès. Vous ne réussirez vraiment que si vous faites beaucoup d’erreurs.
L’hésitation nous retient captifs de nos zones de confort parce que le fait de nous en tenir à ce qui nous est familier semble être le pari le plus sûr.
Le problème, c’est que nous avons souvent peur d’explorer tout ce qui se trouve en dehors de notre zone de confort, car cela nous semble risqué.
Malheureusement, l’hésitation vous ment. Elle vous promet une vie saine et agréable, mais ce qu’elle vous apporte en réalité, c’est la stagnation et le déclin.
En effet, si vous restez inactif, le monde continuera à évoluer pendant que vous vieillirez.
Pour finir, vous aurez la pesante impression que vous êtes à la traine.
Vous avez en effet pris du retard, car ce monde est un monde actif.
Beaucoup de gens entrent dans leur 3e âge avec des tonnes de regrets concernant les opportunités qu’ils ont laissé passer.
Ils ont laissé la voix de l’autocensure étouffer une à une leurs idées inspirées.
Ne laissez pas cela vous arriver si vous pouvez l’éviter.
L’hésitation vous ment également lorsqu’elle vous promet que vous pourrez revenir sur une idée plus tard, une fois que vous aurez pris le temps d’y réfléchir, de faire des recherches ou en d’en discuter avec quelqu’un.
En réalité, ce genre de retard tue généralement les bonnes idées et les empêche de se concrétiser.
Vous finirez par vous retrouver à tourner en rond sans jamais agir de façon concrète ou (au pire) vous oublierez complètement cette idée.
Dans tous les cas, vous ne parviendrez jamais à passer à la phase de concrétisation de l’idée.
Cela vous rappelle-t-il quelque chose ?
L’action immédiate
Le but de l’action immédiate est de permettre à la personne qui agit d’obtenir rapidement une récompense. Cette impulsion vise à augmenter vos gains.
Cependant, une autre chose se produit également quand vous utilisez de plus en plus l’approche de l’action.
Vous entrez dans un flux qui vous permet de concrétiser vos idées plus tôt et plus rapidement. Cela passe par le fait de redonner de l’énergie à la partie de vous qui n’hésite pas à agir. Vous surfez sur des vagues de créativité massive et d’expression de soi alors que la voix de l’autocensure s’estompe en arrière-plan.
Rester longtemps en « mode action » est une chose merveilleuse. Cela vous procure le sentiment d’être en éveil et en vie. Cette sensation est stimulante et agréable, à condition de trouver le bon équilibre.
Vous pouvez toujours vous accorder des pauses et profiter de beaucoup de temps libre.
Pendant ces périodes de repos, vous pouvez rapidement décider de ce que vous souhaitez faire pour vous amuser, vous détendre et vous ressourcer.
Vous pouvez profiter du flux de l’action pendant vos heures de travail, de repos et de divertissement.
Ce que j’aime faire, c’est choisir une destination et m’y rendre. Il est très amusant de penser à une destination un jour et de s’y retrouver un ou deux jours après, parfois même en quelques heures si l’on prend très vite une décision.
Un de mes amis a débarqué d’un avion dans un aéroport, puis a utilisé un procédé lui permettant de choisir une destination aléatoire pour son prochain voyage.
Il s’est avéré qu’il a choisi la même ville et le même pays que ceux qu’il venait de quitter.
Il a alors pris un vol pour y retourner et vivre de nouvelles aventures extraordinaires.
Cela peut sembler un peu surréel, mais posez-vous la question suivante : que puis-je faire pour créer d’excellents souvenirs ?
Pensez-vous que mon ami va regretter ses allers-retours dans les aéroports quand il vieillira ?
J’en doute sérieusement.
Aujourd’hui, il a une belle histoire à raconter. Dans quelques années, il aura une magnifique collection de souvenirs.
À quand remonte votre dernier projet de voyage vers une destination donnée ? Et que s’est-il passé ensuite ?
Vous vous êtes probablement dit que ce serait formidable de le faire un jour. Pourquoi ne pas partir tout de suite ? Pourquoi ne pas régler sur le champ toutes les questions relatives à votre voyage et à votre hébergement ?
Vous êtes conscient que vous pourriez y être en un jour ou deux, n’est-ce pas ? Pourquoi attendre dans ce cas ?
Ah oui, j’oubliais, il y a ces satanés sous-réseaux de l’autocensure qui vous opposeront de nombreuses objections.
Et pourtant, vous pourriez tout de même faire ce voyage dès maintenant, si seulement vos sous-réseaux neuronaux qui vous poussent à l’action étaient assez forts.
Lorsque vous envisagez d’agir, surtout de manière significative, posez-vous simplement la question suivante :
Ai-je envie de conserver le souvenir de cette expérience ? Ou veux-je conserver le souvenir de l’avoir ignoré ?
Ces questions m’aident à faire preuve de clarté quand je veux prendre certaines décisions délicates.
Pour être honnête, la réponse qui en découle me pousse vraiment à sortir de ma zone de confort.
Il est parfois évident que je garderai comme un trésor les souvenirs qui découleront de mon action, même si le voyage semble un peu effrayant ou désagréable. Puis, je me dis : bon sang, je crois que je dois le faire.
Une réflexion équilibrée
Quand vous envisagez de faire une action, notamment pour vous exprimer d’une manière ou d’une autre, vous pouvez dans un premier temps ressentir une réaction émotionnelle — par exemple la peur, l’inquiétude ou l’anxiété — et ces émotions peuvent vous déstabiliser.
Ce que j’aime faire quand je me sens déstabilisé par une émotion, c’est prendre trois feuilles de papier vierges et un stylo, puis écrire mes pensées et mes sentiments au fur et à mesure que ceux-ci se manifestent, jusqu’à ce que les trois feuilles soient saturées.
Cet exercice dure environ 45 minutes et il en vaut la peine. Il aide à faire passer l’énergie du cerveau émotionnel vers le cerveau logique.
Il me permet de traduire suffisamment bien mes sentiments pour m’amener à réfléchir au problème, à la situation ou à l’opportunité qui se présente.
Le fait d’utiliser un stylo et du papier (au lieu de me servir d’un appareil) me ralentit et me permet de réfléchir davantage lorsque j’écris, de sorte que le processus semble plus minutieux.
Je vous recommande d’utiliser cette approche si vous êtes aux prises avec des pensées ou des sentiments distrayants et que vous souhaitez retrouver une certaine clarté mentale.
C’est un bon moyen de rétablir l’équilibre !
Je sais que si je bascule trop vers l’autocensure, cela me conduira à l’ennui et la stagnation. Je finirai en effet par me sentir piégé ou coincé parce que je ne prends pas assez de décisions.
Cela me donne l’impression d’étouffer et d’être à la traine.
Par contre, si je penche trop vers l’impulsivité, ce que j’ai déjà fait par le passé, je ressens un stress excessif parce que j’agis de manière trop aléatoire et anarchique.
C’est ce genre de déséquilibre qui m’a valu d’être arrêté à quatre reprises quand j’avais entre 18 et 19 ans.
Je réalisais toutes les idées qui me passaient par la tête, aussi folles fussent-elles.
J’ai fini par apprendre à équilibrer ces modes de pensée de manière plus délibérée.
J’aime la stimulation que procure le fait d’être dans le flux de l’action, mais je n’ai pas besoin de la stimulation aléatoire que procure l’action chaotique.
Ce qui m’aide à trouver le bon équilibre, c’est l’habitude que j’ai de me fixer des objectifs ambitieux, de choisir consciemment mes propres défis de croissance personnelle et d’aligner ma vie sur des valeurs fondamentales et un sens de l’objectif. Cela permet d’avoir une vision d’ensemble pour les circuits d’action et d’autocensure.
Pour parvenir au bon équilibre sur la durée, vous devez délibérément choisir l’inconfort en vous retirant sans retenue de votre zone de confort.
Vous devez continuer à encourager les circuits d’action, afin de ne pas tomber dans l’autocensure à outrance.
La voix de l’autocensure
Je vais maintenant vous expliquer comment j’ai récemment procédé pour gérer une situation en optant pour l’action alors que la voix de l’autocensure se faisait bien entendre.
Il y a quelques jours, une idée m’a traversé l’esprit : créer un groupe de discussion sur Facebook dans le cadre du futur lancement de mon nouveau cours.
Je me suis dit que cela pourrait rendre le lancement plus intéressant et plus social pour ceux qui veulent se sentir plus proches de personnes partageant les mêmes idées et qui souhaitent faire cette plongée profonde avec nous.
Étant donné que des centaines de personnes se sont inscrites à chacun de nos cours précédents lors de leur lancement, je pouvais m’attendre à ce que ce même nombre de personnes soit également intéressé par cette nouvelle plongée profonde.
De plus, j’ai constaté qu’une partie de ces gens souhaitaient entrer directement en contact avec l’énergie du lancement.
Ce n’était pas une idée nouvelle. Elle m’avait déjà traversé l’esprit au cours de ces dernières semaines.
Cependant, chaque fois qu’elle me venait en tête, une autre partie de mon esprit la censurait.
En effet, j’étais submergé par des doutes et arguments négatifs, et je me disais : pas maintenant, je suis trop occupé, je ferai peut-être cela lors du prochain lancement, je dois d’abord faire des recherches, beaucoup de mes lecteurs n’aiment pas Facebook, nous n’avons pas vraiment besoin de cela, je peux ajouter cela à une liste d’idées auxquelles je réfléchirai plus tard, etc.
L’autocensure se fait généralement appuyer par des objections logiques, et ces dernières tendent à stopper toute réflexion ultérieure.
Les arguments négatifs vous permettent de vous défiler et vous donnent l’impression qu’il vaut mieux retarder l’échéance.
Le problème c’est qu’une opposition est en réalité un obstacle à une pensée rationnelle plus profonde.
J’ai donc écarté cette idée pendant un moment. Cependant, cette autocensure récurrente, combinée à d’autres facteurs récents, m’a donné l’impression que je m’enfonçais un peu trop dans le mode répression.
Conscient du risque que je courais en restant trop longtemps dans ce mode, j’ai décidé qu’il était temps d’inverser la tendance et d’encourager mon esprit à agir davantage.
Je veux jouer dans la peau d’une personne plus orientée vers l’action dans les mois à venir. J’ai donc besoin de recadrer ma pensée de manière à stimuler mes actions et supprimer au maximum mes objections internes.
Cette démarche m’a conduit à m’engager à relever un certain nombre de défis de croissance personnelle. Je me suis par exemple lancé le défi d’écrire un article de blog tous les jours pendant 365 jours.
Le fait de faire basculer le pendule de cette manière récompense et active les sous-réseaux neuronaux de l’action tout en supprimant les sous-réseaux de l’autocensure.
Par conséquent, cela me permet de me sentir plus orienté vers l’action chaque jour.
Depuis que je me suis engagé dans ce défi, j’ai des journées plus riches en actions inspirées.
Je suis plus enclin à concrétiser mes idées dès qu’elles me viennent à l’esprit.
Je me sens inspiré et plein d’énergie pour continuer à agir, ce qui constitue un excellent état d’esprit à l’approche du lancement prochain d’un nouveau cours.
Hier, la même idée de créer un groupe Facebook pour le lancement de mon cours m’a encore traversé l’esprit, mais cette fois-ci, mes modes de pensée étaient différents.
J’avais en effet stimulé mes circuits d’action en m’engageant à écrire chaque jour pendant 365 jours ; mon équilibre mental intérieur a donc changé positivement.
La voix de l’autocensure était bien sûr présente, mais elle était moins forte et moins évidente que la voix qui me poussait à l’action.
Depuis que je me suis réellement engagé à écrire tous les jours des articles de blog je perçois chaque jour, l’activation des circuits de l’auto censure, mais ils ne parviennent pas à trouver le moyen de m’empêcher d’écrire.
Mieux, je considère désormais que les objections que la voix de l’autocensure me présente sont très peu convaincantes pour contrecarrer l’engagement public que j’ai pris.
Cette voix de l’autocensure semble donc maintenant très faible quand elle essaie de formuler des arguments négatifs, et elle rend rapidement les armes : oh, peu importe, vas-y finalement, écris puisque c’est cela que tu as envie de faire.
Elle devient chaque jour plus silencieuse, tandis que la voix qui me pousse à l’action est de plus en plus forte.
En conséquence, peu de temps après que cette idée ait germé dans ma tête hier, j’ai demandé à Rachelle si elle pouvait se charger de créer le groupe en question et de le rendre opérationnel dans l’immédiat.
Elle a accepté !
Cependant, peu de temps après, j’ai eu l’impression que c’était encore une ruse de la voix de l’autocensure.
Déléguer cette tâche était-il en réalité une démarche plus rapide ou juste une autre tactique de retardement de l’action ?
Je me suis alors demandé : combien de temps faut-il pour créer un groupe Facebook ?
J’ai cherché comment le faire sur Google et j’ai vu que c’était assez simple.
J’ai donc immédiatement créé le groupe. Au bout de quelques minutes, je l’avais déjà ouvert aux participants.
C’était plus simple que je ne le pensais.
Ensuite, je me suis dit que je devais commencer à inviter des gens à le rejoindre.
Et bien sûr, j’ai encore entendu les pensées répressives surgir en guise de réponse : ne devrais-je pas d’abord vérifier soigneusement les paramètres du groupe ? Rachelle et moi ne devrions-nous pas d’abord nous occuper des paramètres d’administration pour nous assurer que nous savons ce que nous faisons ?
Là encore, la voix de l’action était plus forte parce que je l’avais entrainée à le devenir. Elle a écrasé les piètres tactiques de retardement utilisées par la voix de l’autocensure. Je me suis donc immédiatement mis à inviter les gens à rejoindre le groupe, notamment en annonçant sa création dans un article.
Moins de 24 heures après la création du groupe, nous comptions déjà 177 membres, auxquels s’ajoutaient chaque heure de nouvelles personnes.
C’était très plaisant à voir. Si j’avais étouffé l’idée, le résultat serait nul étant donné que le groupe n’existerait pas.
Nous avons déjà plus de membres qu’il n’en faut pour rendre intéressantes les interactions au sein du groupe.
Sachez qu’en agissant instantanément au lieu d’auto censurer une idée, j’ai également acquis une nouvelle compétence.
Je sais maintenant comment créer et administrer un groupe Facebook, ce que je ne savais pas faire il y a quelques jours.
Si ce lancement se passe bien, nous pourrions créer des groupes de ce type pour d’autres présentations en vue de les rendre plus sociales.
Équilibrer l’action et la répression
Équilibrer vos circuits d’action et d’autocensure est un défi de toute une vie. Il est bon de l’accepter, afin de pouvoir réfléchir consciemment à la façon dont vous devez vous entrainer par la suite.
Il est inutile de vous en vouloir si vous êtes en proie à un déséquilibre dans un sens ou dans l’autre.
Le déséquilibre est inévitable dans cet exercice. Voyez cela comme une invitation à vous entrainer de sorte à favoriser l’équilibre que vous recherchez.
Faites le point sur vos activités au cours de l’année écoulée. Avez-vous pris suffisamment de mesures inspirées ?
Pensez-vous que la voix l’autocensure a clairement dominé les débats ?
Vos décisions étaient-elles trop impulsives et confuses ?
Avez-vous créé suffisamment de souvenirs inoubliables ?
Que voulez-vous pour l’année en cours ?
Aimeriez-vous vivre une année plus calme, plus contrôlée et plus axée sur l’autocensure ?
Voulez-vous plus d’actions audacieuses et d’expression de soi ?
Voulez-vous plus d’introspection et de réflexion ?
Aimeriez-vous que cette année soit une année d’action et de résultats ?
En interagissant avec mes lecteurs ces derniers jours, j’ai découvert que la plupart d’entre eux estimaient qu’ils n’ont pas fait suffisamment d’efforts pour donner vie à leurs désirs au cours de l’année écoulée.
Ces personnes ont envie de faire pencher la balance vers plus d’action et une expression de soi plus audacieuse pour cette année.
Elles veulent aller plus loin, sortir de leur zone de confort et moins s’autocensurer. Elles veulent se sculpter des personnages plus orientés vers l’action.
Pourtant, elles souhaitent également faire preuve de douceur envers elles-mêmes et envers les autres.
Elles apprécient la gentillesse et la compassion et ne veulent pas que l’expression de leur personnalité soit perçue comme trop sévère et moralisatrice.
L’idée d’une douce férocité trouve un écho chez nombre de mes lecteurs.
C’est faisable, même si ce n’est pas facile.
Sachez que si votre année dernière a été décevante, il est probable que celle en cours le soit aussi, à moins que vous sortiez délibérément de votre zone de confort.
Je fais ce que je fais en ce moment parce que je veux que mon année soit une année plus orientée vers l’action.
Cette année, je compte écrire, enregistrer et publier plus de contenu que je ne l’ai fait depuis que je me suis lancé dans ma carrière de blogueur expert en développement personnel.
Je dois donc m’entrainer à privilégier l’action plutôt que l’autocensure.
Cette volonté d’agir est partiellement due à la curiosité.
J’ai vraiment envie de savoir ce que cela fait de vivre une année complète dans la peau de ce genre de personnage.
Comment faire en sorte que l’expression créative fasse plus que jamais partie de ma réalité ?
Cette expérience semble amusante et stimulante, même si elle n’est pas pratique.
Je me prépare délibérément à vivre 365 jours pas très agréables dans ce sens (et dites-vous que je n’ai même pas encore abordé les répercussions que ma décision aura sur les autres personnes), mais je pense que cela en vaut la peine.
Si vous souhaitez également vous entrainer à devenir un personnage plus tourné vers l’action, je vous invite à faire tout ce qu’il faut pour vous engager sur cette voie dès cette année.
Prenez un engagement de manière à sortir délibérément de votre zone de confort et à passer à une zone de croissance.
Ne laissez pas la voix de l’autocensure et de la répression vous faire perdre une nouvelle année.
Trouvez cette voix en vous qui vous pousse vers l’action et suivez-la !
Article original écrit par Steve Pavlina.
Il peut vous arriver de suivre la voix de l’autocensure sans même vous en rendre compte : en recherchant coûte que coûte la perfection. Ce perfectionnisme finit donc par vous faire plonger dans une forme de procrastination intelligente. Si vous voulez savoir comment dépasser cela, je vous invite à regarder la vidéo ci-dessous.