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Satisfaire ses besoins ne devrait jamais être perçu comme un luxe. C’est l’un des fondements essentiels d’une vie équilibrée et épanouie.
On nous enseigne souvent que, en tant qu’êtres humains, nous avons des besoins fondamentaux : des besoins de survie (nourriture, eau, abri), des besoins émotionnels (appartenance, amour) et des besoins liés à l’estime de soi.
Toutefois, la notion même de « besoin » peut être sujette à débat.
La hiérarchie des besoins, comme celle proposée par Maslow, est aujourd’hui largement remise en question.
Ce que l’on perçoit comme un besoin dépend souvent du contexte et de nos préoccupations du moment.
Certains éléments qui ne sont pas essentiels à la vie peuvent néanmoins sembler cruciaux lorsqu’ils ne sont pas satisfaits.
Paradoxalement, alors que l’on reconnaît que nous avons des besoins, il est souvent mal vu d’être perçu comme une personne « en manque » ou « dépendante ».
Comme si exprimer un manque risquait de nous rendre socialement indésirables.
Avoir des besoins vs Être dépendant
La distinction entre avoir des besoins et être dépendant réside dans la manière dont ces besoins sont satisfaits.
Il est naturel d’avoir des besoins et de vouloir les satisfaire.
Cela ne signifie pas forcément être dans une posture de dépendance.
La dépendance survient lorsque la ressource recherchée est perçue comme rare, créant ainsi une dynamique de concurrence : dans ce cas, satisfaire ses besoins peut impliquer qu’une autre personne ne parvienne pas à combler les siens.
Si vous avez besoin d’eau et que celle-ci se fait rare, il est naturel que vous développiez une forme de dépendance vis-à-vis de cette ressource.
La soif vous poussera à faire tout votre possible pour vous hydrater.
Dans une situation où plusieurs personnes recherchent une ressource limitée, la concurrence devient inévitable, et certains finiront par en manquer.
Cette logique s’applique aussi aux besoins émotionnels.
Prenons l’exemple du contact et de l’affection : si vous les percevez comme rares ou difficiles à obtenir, un sentiment de manque peut émerger.
Cela peut vous amener à adopter une posture de dépendance affective, influençant vos interactions et générant une forme de compétition, aussi bien pour vous que pour votre entourage.
À l’inverse, si vous percevez ces besoins comme pouvant être comblés facilement — grâce à une abondance de personnes prêtes à vous apporter du soutien et de l’affection —, le sentiment de manque disparaît.
Vous savez que vous pouvez obtenir ce dont vous avez besoin sans épuiser cette ressource ni rivaliser avec les autres.
Accessibilité
Même lorsqu’une ressource est objectivement abondante, son accessibilité joue un rôle crucial.
Par exemple, il existe des milliers de personnes prêtes à offrir de l’affection et du soutien, mais, si vous ne vous sentez pas capable d’y accéder, cette abondance reste théorique.
Cela peut être causé par un manque d’aptitudes sociales, des croyances limitantes ou des blocages émotionnels.
Dans ce cas, ce n’est pas l’offre qui est insuffisante, mais plutôt votre capacité à vous y connecter.
Par conséquent, satisfaire ses besoins n’est plus une simple affaire de ressources disponibles, mais aussi de compétences relationnelles et de disposition intérieure.
Prenons l’exemple d’un fort besoin de contact physique.
L’offre est indéniablement présente : des milliards d’êtres humains sur Terre apprécient le contact tactile.
Néanmoins, dans quelle mesure pouvez-vous réellement bénéficier de cette abondance ?
Avez-vous développé les compétences sociales nécessaires pour inviter naturellement quelqu’un à partager ce contact, sans que cela soit perçu comme déplacé ou inconfortable ?
Vos propositions sont-elles bien accueillies et suffisamment fréquentes pour satisfaire ce besoin ?
De plus, êtes-vous freiné par des croyances limitantes ?
Pensez-vous que demander du contact physique est étrange ou inapproprié ?
Ressentez-vous une gêne ou une forme de culpabilité en exprimant ce besoin ?
Si la réponse est oui, cela peut vous empêcher de satisfaire vos besoins, même lorsque les circonstances s’y prêtent.
Enfin, vous imposez-vous des restrictions arbitraires ?
Par exemple, croyez-vous que vous ne pouvez partager un contact physique qu’avec un partenaire dans le cadre d’une relation exclusive ?
Cette vision réduit vos options pour satisfaire vos besoins de proximité, et peut accroître la dépendance ou la frustration.
Poursuite et Dépendance
Lorsqu’une personne ressent un manque affectif, ce n’est souvent pas l’offre qui fait défaut, mais plutôt des limitations internes qui restreignent son accès à cette ressource.
Ces blocages, qu’ils soient sociaux ou psychologiques, créent une illusion de rareté qui pousse à des comportements compensatoires.
Deux réactions courantes émergent alors :
- La poursuite : se produit lorsque quelqu’un identifie un « fournisseur potentiel » pour satisfaire ses besoins affectifs, mais que celui-ci n’est pas totalement disposé à les combler. Comme la personne perçoit peu d’autres options, elle tente alors de convaincre, persuader, voire manipuler ce fournisseur pour qu’il lui accorde son attention.
- La dépendance : survient lorsque la personne a trouvé un fournisseur réceptif, mais qu’elle redoute de ne pas pouvoir le remplacer en cas de perte. Elle cherche alors à sécuriser cette relation, et écarte toute menace ou concurrence perçue, par crainte de ne plus pouvoir satisfaire ses besoins
Elles sont le fruit d’une mentalité de pénurie et de concurrence.
Heureusement, il est possible de les surmonter en développant des compétences sociales plus fluides, en déconstruisant ses croyances limitantes et en cultivant une perception plus large de l’abondance disponible pour satisfaire ses besoins de manière saine et durable.
Besoins et Relations non exclusives
L’un des aspects que j’apprécie particulièrement dans une approche relationnelle non exclusive est la liberté qu’elle offre dans la satisfaction des besoins émotionnels.
Elle élargit le cercle des personnes capables de satisfaire ses besoins, réduisant ainsi le risque de dépendance.
Dans une relation exclusive, l’idée que certains besoins ne peuvent être comblés que par une seule personne crée une restriction.
Tant que cette personne est disponible et disposée à satisfaire vos besoins, un sentiment d’abondance peut être préservé.
Mais si elle n’est pas toujours accessible ou si elle n’est pas en mesure de combler ces besoins aussi souvent que souhaité ?
Ou pire, si elle est particulièrement difficile à trouver et que l’idée de rencontrer un autre partenaire prêt à offrir ce soutien semble compliquée ?
Cela peut engendrer une dynamique de poursuite ou de dépendance, rendant encore plus complexe la possibilité de satisfaire ses besoins affectifs.
Reconnaître et Assumer ses besoins
L’un de mes besoins émotionnels fondamentaux est l’abondance de contacts physiques.
Ce n’est certes pas un besoin vital — je ne vais pas en mourir — mais j’ai constaté que mon bien-être physique, mental et émotionnel s’en trouve considérablement amélioré lorsque je peux régulièrement entretenir des contacts physiques.
Idéalement, j’aime être en contact direct avec une femme au moins une heure par jour, voire plusieurs heures, par exemple en dormant enlacés la nuit.
Avec une partenaire qui ne partage pas mon besoin de contact physique, une relation exclusive pourrait rapidement devenir une source de frustration et de dépendance.
Cela éveillerait en moi un sentiment de pénurie, me rendant triste, frustré, voire déprimé face à un besoin non satisfait.
Je pourrais passer un temps considérable à tenter de la convaincre d’apprécier davantage le contact, à me blâmer d’avoir ce besoin, ou même à essayer de le nier.
À long terme, cela risquerait de créer de la rancœur, de m’amener à me fermer émotionnellement pour éviter la douleur de la déception, ou encore de me faire sentir impuissant.
Ne pouvant combler un besoin aussi fondamental, je serais incapable de donner le meilleur de moi-même et aurais la sensation qu’un élément essentiel manque à ma vie.
Mais rien ne m’oblige à subir cela. Je peux choisir une autre approche : clarifier, reconnaître et assumer pleinement ce que je désire, puis l’exprimer ouvertement.
Satisfaire ses besoins n’est pas un caprice, c’est un choix conscient pour préserver son équilibre.
Si j’aime autant le contact physique et que cela me procure un véritable bien-être, il existe forcément des femmes qui partagent cette sensibilité.
Pourquoi ne pas chercher à en rencontrer une ?
Une relation avec une personne alignée avec ce besoin permettrait de satisfaire nos besoins mutuels sans frustration ni effort de persuasion.
Nous pourrions nous enlacer autant que nous le voulons, plusieurs heures par jour si cela nous chante.
Et si elle fonctionne comme moi, cela la rendrait aussi heureuse que moi.
Satisfaire ses besoins
Lorsqu’un besoin semble difficile à combler, il peut être tentant de se convaincre qu’il vaut mieux l’ignorer et s’en passer.
Avec beaucoup d’efforts et de discipline mentale, il est parfois possible d’y parvenir.
Mais à quel prix ? Une telle approche peut être frustrante et pesante sur le long terme.
Et si, au contraire, l’offre pour combler ce besoin existait déjà, mais que les véritables obstacles étaient des croyances limitantes et un manque de compétences sociales ?
Dans ce cas, il suffirait de surmonter ces freins une bonne fois pour toutes, ce qui permettrait ensuite de satisfaire ses besoins avec aisance et régularité, sans lutte intérieure.
C’est cette approche que j’ai choisie pour répondre à mon besoin de contact physique. J’avais déjà essayé de le nier, mais cela m’a toujours semblé artificiel et contraignant.
Il y a plusieurs années, j’ai donc pris la direction opposée.
J’ai commencé par déconstruire mes croyances limitantes.
Je me suis dit que, si j’appréciais autant le contact tactile, il devait exister de nombreuses autres personnes partageant ce même besoin.
Il ne me restait alors qu’à les identifier (ou à leur permettre de me trouver) et à leur proposer de partager ces moments de contact.
Si l’envie est mutuelle, pourquoi y aurait-il un problème ?
Nous profitons de ces instants ensemble — un câlin, une promenade main dans la main, un moment de détente — et chacun en ressort satisfait.
Mieux encore, ces instants ne nécessitent pas de bouleverser mon emploi du temps.
Je peux parfaitement les intégrer à mes activités quotidiennes : discuter, regarder un film, dormir enlacé, marcher en se tenant la main…
Ainsi, au lieu de chercher du temps supplémentaire pour satisfaire ce besoin, je l’intègre naturellement dans mon mode de vie.
Ensuite se pose la question des compétences : d’une part, savoir inviter les autres à partager un contact, et d’autre part, savoir offrir ce contact de manière fluide et agréable.
Ce sont deux aspects que j’ai pris plaisir à explorer et à perfectionner.
Dans les deux cas, l’objectif final reste le même : satisfaire ses besoins tout en créant un climat de bienveillance et de réciprocité.
J’ai exploré différentes manières d’inviter au contact, jusqu’à ce que cela devienne une habitude naturelle.
Rapidement, je me suis senti à l’aise avec cet exercice, et même au départ, la plupart de mes invitations étaient bien reçues.
Cela m’a conforté dans l’idée que de nombreuses femmes partageaient le même besoin que moi.
Finalement, tout reposait sur un principe simple : oser inviter et en faire une habitude.
En parallèle, j’ai affiné l’art du contact physique.
J’ai testé différentes approches pour comprendre ce qui me plaisait et ce qui plaisait à l’autre : séances de câlins, positions confortables comme le spooning, caresses légères, massages, contacts plus sensuels, ou encore baisers…
J’ai trouvé cela non seulement facile et plaisant, mais aussi enrichissant.
Développer ma confiance et apprendre à apporter du bien-être aux autres à travers le toucher était une expérience gratifiante. Et en retour, j’ai aussi appris à recevoir.
Un jour, une femme m’a demandé ce que j’aimais particulièrement.
Je lui ai répondu que j’adorais qu’on me grattouille la tête.
Elle a alors passé une demi-heure à le faire doucement avec ma tête sur ses genoux.
Ce moment m’a paru si agréable que je l’ai remerciée à de nombreuses reprises.
Elle m’a simplement répondu : « Tu m’as dit ce qui te plaisait, alors pourquoi ne pas t’en offrir autant que possible ? »
Ce à quoi j’ai répondu que j’aurais aimé que davantage de femmes adoptent la même attitude.
Finalement, j’ai pris conscience qu’elles étaient bien plus nombreuses que je ne le pensais.
Il m’a simplement fallu un peu de temps pour les rencontrer et nouer des liens avec elles.
Quand on accepte l’idée qu’il peut être simple de satisfaire ses besoins, on découvre un monde d’opportunités insoupçonnées.
Abondance
Cette approche a fait naître en moi un profond sentiment d’abondance.
Aujourd’hui, ma vie est remplie de contacts physiques — câlins, étreintes et moments de tendresse.
Si je passe plusieurs jours sans en avoir, c’est par choix et non par manque d’opportunités.
Je ne ressens ni la nécessité de courir après quelqu’un ni la peur de dépendre d’une seule personne.
Il existe suffisamment de personnes qui apprécient les contacts physiques pour que je puisse simplement me tourner vers celles qui partagent cette même envie.
Je n’ai jamais besoin de convaincre qui que ce soit.
Si je perçois la moindre hésitation face à une invitation, je n’insiste pas : je passe à autre chose, sachant pertinemment que d’autres opportunités existent.
Forcer une interaction n’aurait aucun intérêt quand l’abondance est à portée de main.
À mesure que je suis devenu plus à l’aise avec cette dynamique et que j’ai pleinement intégré l’idée que ce besoin pouvait être comblé sans effort, le sentiment de manque a disparu.
Aujourd’hui, je n’ai même plus besoin de multiplier les invitations : il me suffit d’accepter celles qui me sont faites.
J’ai appliqué ce même processus dans d’autres aspects de ma vie, notamment sur le plan financier.
En déconstruisant les croyances limitantes et en développant les compétences adéquates, on peut atteindre une forme d’abondance qui dépasse largement les besoins de base.
Lorsqu’on surmonte le sentiment de pénurie, on se rend compte que les ressources — qu’il s’agisse d’argent, d’opportunités ou de relations — circulent plus librement.
De nouvelles occasions se présentent naturellement, parfois sans même avoir besoin de les chercher, rendant plus simple de satisfaire ses besoins matériels et affectifs.
Gratitude
Chaque fois que je parviens à me libérer d’un schéma mental de pénurie pour embrasser un état d’esprit d’abondance, un profond sentiment de gratitude m’envahit.
Cette reconnaissance renforce ma nouvelle réalité et me permet de l’ancrer durablement.
Satisfaire ses besoins devient alors un véritable motif de gratitude, car on se rend compte à quel point la pénurie n’était qu’une construction mentale.
L’une des raisons pour lesquelles je reçois spontanément des propositions de câlins ou d’étreintes, c’est que je n’éprouve plus de manque.
Je pars du principe que mon besoin sera naturellement comblé, même avec un investissement minimal de ma part.
Et cette anticipation positive crée un cercle vertueux.
La plupart du temps, ce sont les autres qui prennent l’initiative de m’offrir des étreintes.
Il n’est pas rare que des femmes me proposent spontanément des moments de câlinerie, ou qu’une partenaire habituelle de câlins soit disponible.
Vivre dans cette abondance est un privilège dont je suis pleinement conscient, car je n’ai pas oublié ce que c’était que de vivre dans la pénurie ni les émotions qui en découlaient.
D’ailleurs, lors d’une conférence que j’ai donnée à Bucarest devant un public d’entrepreneurs et de professionnels indépendants, j’ai eu l’occasion d’évoquer la création d’un style de vie plus épanouissant.
Si cela vous intéresse, vous pourrez regarder l’intégralité de la vidéo plus tard.
Mais si vous ne regardez que 90 secondes, entre les points de repère temporels 32:20 et 33:49, vous me verrez recevoir deux câlins spontanés de la part de personnes dans l’assistance.
Ai-je l’air d’apprécier ces étreintes ?
Absolument ! Car une partie de moi se souvient encore très bien de l’époque où cette énergie faisait défaut dans ma vie.
L’un des grands avantages d’être passé de la pénurie à l’abondance est le profond sentiment de gratitude qui en découle.
Lorsque je tiens une femme dans mes bras et que nous partageons un instant de tendresse, je suis extrêmement reconnaissant d’avoir attiré ce type d’expérience dans ma vie.
Je le dis souvent aux femmes : ces moments sont un véritable cadeau pour moi, et je ne les prends jamais pour acquis.
Chaque étreinte est précieuse.
Satisfaire ses besoins de façon si fluide demeure pour moi un privilège que j’honore avec gratitude.
Voici une photo de moi avec deux femmes, partageant un câlin sincère et chaleureux.
Ne rayonnons-nous pas de bonheur ?
Lorsque vos besoins sont bien comblés, vous pouvez en quelque sorte vous en défaire.
Au fil du temps, vous arrêtez même de les voir comme des « besoins ».
Ce qui vous faisait défaut hier devient aujourd’hui une source de gratitude et d’épanouissement.
En intégrant davantage de gratitude dans votre quotidien tout en remplaçant progressivement un ancien schéma de manque, vous élevez naturellement votre énergie et améliorez significativement votre qualité de vie.
Pour ma part, je préfère une vie remplie de câlins à une vie où ils se font rares.
Ayant expérimenté les deux scénarios, je peux affirmer en toute connaissance de cause que l’abondance de câlins me convient bien mieux.
Ce processus peut nécessiter du temps (souvent des années) avant de se concrétiser pleinement.
Cependant, une fois que vous l’aurez achevé dans au moins un domaine de votre vie — qu’il soit financier, social ou autre —, vous réaliserez à quel point l’investissement en temps et en énergie en valait la peine.
Chaque domaine où l’on parvient à satisfaire ses besoins durablement devient une source de fierté et un exemple de ce que l’on peut accomplir ailleurs.
Dans quels aspects de votre vie ressentez-vous un sentiment de pénurie ou de dépendance ?
À quels moments vous surprenez-vous à adopter des comportements de poursuite ou de dépendance ?
Êtes-vous prêt à entreprendre un cheminement en deux étapes : développer les compétences nécessaires et déconstruire vos croyances limitantes ?
Si oui, je suis convaincu que vous finirez par atteindre un état d’abondance.
Cela peut prendre du temps, mais le temps passera quoi qu’il arrive.
Alors, pourquoi ne pas en profiter pour avancer vers un futur où satisfaire ses besoins sera si facile qu’ils ne seront plus perçus comme des besoins ?
Lorsque ce futur deviendra votre présent, vous vous féliciterez d’avoir fait ce choix.
Personnellement, je ressens une profonde gratitude envers mon moi du passé qui a pris la décision d’attirer et de partager des expériences de contacts physiques avec des partenaires consentants.
Ce n’était pas un parcours difficile en soi, mais il a nécessité un engagement sincère ainsi que la volonté de surmonter quelques moments inconfortables.
Avec le recul, l’effort en valait largement la peine.
Aujourd’hui, j’aime profondément la vie qui s’est dévoilée à moi au terme de ce processus de satisfaction de mon besoin.
C’est une véritable joie d’arriver à la dernière étape du processus et de réaliser que même avec un effort minime, mon besoin de contact sera spontanément comblé par des personnes chaleureuses et bienveillantes.
Et cette expérience devient encore plus enrichissante lorsque je prends conscience que j’apporte aussi quelque chose en retour, en contribuant à combler leurs besoins.
Article original écrit par Steve Pavlina.