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Pourquoi le marketing spirituel est plus Puissant que la publicité traditionnelle

Il y a quelques années, j’avais décidé de supprimer mes comptes Facebook et Instagram. À l’époque, je cherchais une approche différente, plus alignée avec mes valeurs : c’est ainsi que j’ai commencé à explorer le marketing spirituel.

Lorsque j’avais lancé ma dernière formation de l’époque, je l’avais fait sans recourir aux réseaux sociaux ni à la publicité.

J’avais, certes, partagé une vidéo d’invitation sur YouTube, mais elle n’avait attiré que quelques centaines de vues.

Cette approche minimaliste s’inscrivait déjà dans l’idée du marketing spirituel, où l’authenticité et le lien direct avec son audience sont privilégiés.

À cette période, j’avais choisi de recentrer mon approche commerciale.

Pourquoi le marketing spirituel est plus Puissant que la publicité traditionnelle

Plutôt que de chercher à attirer un public sur d’autres plateformes, je m’étais concentré sur ma communauté existante : les lecteurs de mon blog, les abonnés à ma newsletter, les participants à mes formations, et les membres de mon club de croissance consciente.

C’était une forme de marketing spirituel, où l’écoute de sa communauté et le respect de ses valeurs personnelles prenaient le pas sur les techniques classiques.

Je m’étais rendu compte que je n’avais pas besoin des réseaux sociaux ou de publicités pour avoir une entreprise prospère et vivre une vie épanouie.

Plus je me concentrais sur mon audience de base, plus l’expérience devenait agréable et motivante.

Cette découverte renforçait mon choix d’adopter le marketing spirituel, une méthode où l’alignement personnel et les relations authentiques priment sur les chiffres bruts.

Un des thèmes centraux de la formation à cette époque était l’importance de cultiver une relation solide avec son flux créatif.

Cela s’inscrivait parfaitement dans la philosophie du marketing spirituel, qui met en avant l’importance de protéger son énergie et sa créativité des distractions inutiles.

J’avais toujours apprécié mettre en pratique ce que j’enseignais.

Chaque nouvelle formation me poussait à réfléchir plus profondément à la manière d’appliquer les idées que j’y développais dans ma propre vie et mon travail, ce qui m’amenait inévitablement à apporter des améliorations.

Cette quête constante de cohérence était, pour moi, un élément fondamental du marketing spirituel.

Ce lancement aurait probablement généré davantage de revenus si j’avais investi des milliers de dollars en publicités Facebook, comme je l’avais fait pour les lancements de mes précédentes formations.

Ces campagnes avaient été rentables à l’époque.

Cependant, avoir un compte Facebook était une condition nécessaire pour utiliser cette plateforme, et j’avais apprécié ne plus en avoir.

Là encore, ce choix reflétait mon engagement envers le marketing spirituel, où la liberté et l’authenticité passent avant les gains financiers immédiats.

J’avais consciemment renoncé à ce revenu supplémentaire, mais la liberté de ne pas être sur Facebook en valait largement la peine.

Je m’étais aperçu qu’en plaçant l’alignement, la motivation et les relations positives au cœur de mes priorités, plutôt que de me focaliser sur les revenus, ces derniers restaient toujours satisfaisants.

Cette observation renforce une des bases du marketing spirituel : quand on reste aligné avec ses valeurs, les résultats suivent naturellement.

De plus, lorsque je laissais tomber des idées qui n’étaient pas alignées avec mes valeurs, cela ouvrait mon esprit à des opportunités bien meilleures.

Par exemple, après avoir abandonné les revenus publicitaires, j’avais commencé à organiser des ateliers en direct l’année suivante.

C’est lors du tout premier de ces ateliers que j’avais rencontré ma femme, Rachelle.

Ce moment clé illustrait une autre dimension du marketing spirituel : laisser la place à des opportunités qui résonnent profondément avec ses aspirations personnelles.

À cette époque, mes revenus étaient déjà supérieurs à ceux de la période où je faisais de la publicité, malgré une baisse significative de mon trafic web.

De plus, mes sources de revenus étaient bien plus alignées avec mes valeurs et beaucoup plus motivantes.

Je ne voulais plus être impliqué dans la vente de publicités, et j’étais heureux d’avoir pris une direction différente.

Cela reflétait encore une fois l’essence du marketing spirituel : privilégier ce qui nourrit profondément l’âme plutôt que de courir après des objectifs purement matériels.

Cela dit, il y avait une méthode marketing inhabituelle que j’utilisais.

Elle ne prenait que quelques minutes et semblait étonnamment efficace, bien que je ne comprenne pas entièrement pourquoi.

Cette méthode fait partie intégrante de ma vision du marketing spirituel : une approche intuitive, non conventionnelle, mais profondément alignée avec mes valeurs.

Lors de chaque lancement d’une nouvelle formation, j’avais pour habitude de faire une sorte de demande spirituelle.

Dans mon esprit, j’imaginais un groupe de guides spirituels à qui je demandais d’identifier des personnes qui pourraient bénéficier de la formation, puis de les encourager à s’inscrire en leur envoyant des signes ou des synchronicités.

Je visualisais une discussion avec ces guides, où je leur expliquais le contenu et les avantages de la formation.

Ensuite, je leur demandais, si cela leur semblait pertinent, de diriger ces personnes vers la formation de la manière qu’ils jugeaient appropriée. Je leur faisais confiance pour trouver leur propre méthode.

Pour moi, cette pratique n’était qu’un cadre mental. Croire aux guides spirituels n’était pas nécessaire pour l’essayer.

Elle était rapide, facile, et sans inconvénient apparent. Et, étrangement, elle semblait fonctionner.

J’entendais régulièrement des histoires de synchronicités ou de signes qui avaient poussé des personnes à s’inscrire à mes formations, ce qui m’encourageait à continuer.

Ce type de démarche est un exemple parfait de ce que le marketing spirituel peut offrir : des solutions inattendues et efficaces, ancrées dans l’authenticité.

Fait intéressant : je n’étais pas le seul créatif à déléguer des tâches à des esprits-guides.

Je connaissais d’autres personnes qui utilisaient une méthode similaire et en tiraient également des bénéfices.

Encore une fois, il s’agissait d’une simple action. Croire aux guides spirituels n’était pas nécessaire pour tenter l’expérience.

J’estimais que les outils étaient plus pratiques que les croyances : une croyance n’est finalement qu’un outil auquel on s’attache, comme une extension de sa main ou de sa vision.

Le marketing spirituel, lui, repose davantage sur des pratiques alignées et sur la confiance en sa propre intuition.

Je ne m’appuyais pas exclusivement sur cette approche de marketing spirituel, mais c’était un excellent exemple d’action alignée que je réalisais sans aucune résistance.

Cela en faisait un outil bien plus adapté à ma boîte à outils que l’utilisation de Facebook, qui, pour moi, s’accompagnait d’une certaine réticence.

Parfois, m’éloigner de ce qui créait de la résistance pour explorer de nouvelles zones de flux me menait à des chemins inattendus.

J’appréciais cette démarche, car elle apportait une touche de nouveauté et de diversité dans ma vie, tout en empêchant mon travail créatif de devenir monotone ou prévisible.

Beaucoup de gens craignent que, s’ils abandonnent un outil ou une opportunité qui leur correspond partiellement, ils ne trouvent rien de mieux pour le remplacer, ce qui pourrait nuire à leur activité.

Personnellement, je préfère suivre mon intuition et donner la priorité à mon bonheur.

Cela me rend plus inventif, et je finis toujours par découvrir des idées mieux alignées, plus efficaces, et souvent bien plus satisfaisantes.

Article original écrit par Steve Pavlina.

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